Depuis la fenêtre, en regardant le monde tout entier, par-ci par-là, je vois uniquement des fâchés ; j'ignore si avec eux-mêmes ou si les uns contre les autres, mais fâchés quand même.
Pourtant, si bien que cela ne me regarde pas, car je n’ai pas de quoi me fâcher, mais dans cette ambiance, je me sens un marginal.
Je sors de chez moi pour m’en aller, d’un pas ferme, prêt à me fâcher moi aussi. Alors, je rentre dans un bar… Là, tout le monde était ravi, ce qui, malheureusement, est contagieux.
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