Tout
cela que l'on mange, pour beaucoup délicats que les mets soient, à
plus riche que le mangeur soit plus délicat, néanmoins également
ceux-là se transformeront en ce que l’on appelle merde (*) ;
détritus que l'on jettera, sans considération aucune, aux égouts.
Quand
on deviendra dépouille de ses déchets, on les maquillera et les
mettra dans quelque chose de semblable à une boîte à bonbons. Celle-ci,
que l'on mettra à son tour dans un coffre en béton, ou bien
sous terre, aux soins du temps… Dans les oubliettes !
(*) Vulgairement
dit, selon les dictionnaires, mais merde quand même.
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