En
étant chez un couple d’amis à moi, dans
leur maison, se font écouter des cris de joie de leur fillette,
lesquels viennent du jardin qui l’entoure.
Tous nous qui étions dedans, nous sortons pour voir la cause de cette
si spontanée que bruyante
jouissance ; la petite était par
là
tout
excitée
de
ce qu’une
« bête à bon Dieu » se
soit
poussée
sur son nez. Moi, en observant les deux bestioles, j'ai pu regarder la
plus petite s’envoler. Elle quitte le gracieux nez pour s’en aller à
un pas moins gracieux rosier, dont le mignon coléoptère s’est
mis à
faire
un sort
à
cent seize
pucerons… crus
et vivants !
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