En
étant chez un couple d’amis à moi, depuis,
la maison, se font écouter des cris de joie de leur fillette,
lesquels viennent du jardin qui l’entoure.
Tous nous qui étions dedans, qui sortons dehors pour voir la cause de cette
si spontanée que bruyante
jouissance ; la petite était par
là
tout
excitée
de
ce qu’une
« bête à bon Dieu » se
soit
poussée
sur son nez. Moi, en observant les deux bestioles, j’ai pu voir la
plus petite s’envoler, quittant le gracieux nez pour s’en aller à
un pas moins gracieux rosier, dont le mignon coléoptère s’est
mis pour
faire
un sort
à
cent seize
pucerons… crus
et vivants !!!
En
supposant
que je fusse un
puceron,
je me
demanderai :
si celle-ci est la bête à bon Dieu, je
ne
veux imaginer qu’elle sera celle-là du Diable.
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