La beauté sera bien incarnée en une fleur.
À laquelle on ne doit pas la prendre ; en tenant une fleur, on ne peut pas la contempler dans toute sa splendeur, il suffit, au plus, y approcher le nez*, pour la sentir de près, savourer, sans la toucher, sa tendresse.
Les mains avides flétrissent la beauté.
*Auparavant
il faut vérifier qu’une abeille n’est pas couchée entre ses
pétales… soit que la bestiole se réveille !
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