Sa
tiède haleine caressant son cou.
Ses
doux susurrés délectant son oreille…
respirant
lui de sa propre fétidité ; donc,
son oreille
blessée des cris de ce monde-là l'éveillent.
Le rêveur, en s'éveillant, demande autre pot pour humidifier ses lèvres sèches.
Públique ya, ese soneto bién mesurado para que los demás poetas creamos en su poesia.
RépondreSupprimerજોશો નહીં
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