Un ami à moi, en pensant qu’il était dans un bar de sourds, se disait, marmottait plutôt, à lui-même tout seul :
Non plus où il va
Il
passe sans rien dire qui ne soit musiquant
C'est le vent ! Musicien impénitent
Faiseur
de musique de n’importe quoi où il caresse
Qui fut le vent pour caresser tes joues
Pour
sentir tout de près ton haletant respirer.
En étant, moi par là, l’oreille prête, je le lui conseille : il faut, mon ami, éviter câlins les jours dont les vents soient orageux.
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