Une vie quelconque passait comme si de rien n'était devant le seuil
de la demeure de la mort, donc, soudainement la promeneuse en
congédiant la dissimulation s'y approche.
PAN, PAN ! Elle frappe de nouveau, obtenant pour réponse le même
silence.
PAN, PAN ! BOOM, BOOM ! Insiste vivement la vie en s'aidant à
coups de pied.
Quel est ce scandale. Qui est l'intrépide qui ose me faire montrer
vivante ?
C'est moi, une vie qui…
Qu'est-ce que te croit toi stupide ? que la chose par ici est
si capricieuse que la vie. Allez. Va-t'en et laisse-moi
tranquille. On te cherchera bientôt à son tour.
Cette vie, triste, beaucoup plus triste que quand elle y était arrivée, s'en va par la vie, peinée, lentement, ses mains mises dans
ses poches vides... ses poches, ses mains.
Elles ne sont plus vides les poches quand les mains s'y mettent dedans...
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