Nous avons fait péjoratif le nom de l'âne, notamment, pour nous dénigrer entre nous, en faisant synonymie avec : d’abrutis, de sots… voire totalement fautes d'intelligence, quand n'importe qui parmi nous, s'il le veut, peut constater que chez ceux-là celle-ci est bien plus éveillée que chez la plupart de nous : maîtres insulteurs !
Qu'il y ait beaucoup d'ânes, de même que d'autres animaux non humains, desquels nous avons fait nos esclaves. C'est une chose évident, comme tant de nous l'étions pour quelques-uns d'entre nous.
Pourtant, lesquels sont esclavagistes de ses confrères ne sont pas libres d'être esclaves, eux aussi, soit les uns, les autres à son dessus, soit de l'entéléchie « pouvoir ». L’esclave ne l'est certes pas à cause de son ineptie, sinon aussi de celle-là des esclavagistes : tous sommes perdants, les animaux autres sont uniquement victimes collatérales.