Dans
des conditions normales, les personnes que l'on considère en tant
qu'animaux civilisés ; comme aussi n'importe quel autre animal de
n'importe quelle espèce, ceux-ci qui si bien ne sont pas dans le concept
des civilisés que nous prétendrons être. Ce qui ne veut pas dire qu'ils
n'en
donnent pas forme aux sociétés sans lesquelles ils laisseraient
d'exister. Nous tous, êtres vivants, comme je disais, craignons la mort,
ou au moins, en étant vivants, ni
personne ni animal autre, vendons bon marché notre propre peau.
Depuis
que la vie l'en est, elle est de soi, conditionnée au quotidien à vivre…
La mort n'est d'abord qu'une inconnue et tout vivant qui par
nature se montre méfiant à tout inconnu. Il ne fait pas exception de
la mort, jusqu'à ce qu'on fasse connaissance avec ce qui progressivement
devient une habitude, laquelle renforce des liens d'une amitié bizarre.
Je vous avoue que de ce que j'ai tristesse, plus que de la peur
même qu'à la propre mort. C'est de ceux-là qui, sans avoir vécu
presque, n'ont pas peur de mourir.
Vivre
la vie, qui n'est qu'une école durant, où toutefois que le vivant
est arrivé au temps du licenciement. Il commence à faire de la
connaissance de la mort, à partir d'où les licenciés, même sans
la désirer, sont prêts, soit bien pour ennuyeux, soit pour lassitude d’atteindre la fin de ce délirant
voyage. De la mort à la vie, quand non forçant exprès le désir de
s'y arrêter.
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