vendredi 31 mai 2013

UN TRÉPAS QUI M'A RÉVEILLÉ UN SOUVENIR

    L'homme pleure par être homme, de même que son intelligence le pût à sourire aussi comme la stupidité le fait rire. La femme, toutefois, ni pleure, ni rie, ni même sourit que pour faire du mercantilisme de n'importe quel de ces trois exercices, quand non de tous les trois ensemble pour faire plus grosse affaire.
 
 
    Attention, mesdames et messieurs féministes, tous, surtout, à chercher coupable ailleurs, parce que ces mots ni sortent de mon cœur, ni d'une rancune que je n'ai pas. Je les ai écoutés il y a longtemps, tant comme j'ai connu le déjà, à l'époque. Un vieux sage indien, quand le hasard, en parcourant son pays, m'a fait faire connaissance avec lui ; duquel, maintenant, je viens de recevoir la nouvelle. C'est pour cela que ses mots retombent dans ma tête, de son trépas… ceci qui ni ne m'a fait rire, ni sourire, ni même pleurer… la tristesse a soudain baisé le rideau.    

dimanche 26 mai 2013

DE LA PEUR À LA MORT AU DÉGOÛT À LA VIE

    Dans des conditions normales, les personnes que l'on considère en tant qu'animaux civilisés ; comme aussi n'importe quel autre animal de n'importe quelle espèce, ceux-ci qui si bien ne sont pas dans le concept des civilisés que nous prétendrons être. Ce qui ne veut pas dire qu'ils n'en donnent pas forme aux sociétés sans lesquelles ils laisseraient d'exister. Nous tous, êtres vivants, comme je disais, craignons la mort, ou au moins, en étant vivants, ni personne ni animal autre, vendons bon marché notre propre peau.
 
   
    Depuis que la vie l'en est, elle est de soi, conditionnée au quotidien à vivre… La mort n'est d'abord qu'une inconnue et tout vivant qui par nature se montre méfiant à tout inconnu. Il ne fait pas exception de la mort, jusqu'à ce qu'on fasse connaissance avec ce qui progressivement devient une habitude, laquelle renforce des liens d'une amitié bizarre. Je vous avoue que de ce que j'ai tristesse, plus que de la peur même qu'à la propre mort. C'est de ceux-là qui, sans avoir vécu presque, n'ont pas peur de mourir.
 
 
    Vivre la vie, qui n'est qu'une école durant, où toutefois que le vivant est arrivé au temps du licenciement. Il commence à faire de la connaissance de la mort, à partir d'où les licenciés, même sans la désirer, sont prêts, soit bien pour ennuyeux, soit pour lassitude d’atteindre la fin de ce délirant voyage. De la mort à la vie, quand non forçant exprès le désir de s'y arrêter. 

jeudi 23 mai 2013

LA SOLITUDE; NOTRE GEÔLIÈRE

    Pour peu qu'on laisse vagabonder l'oreille, par ici par là, on écoutera partout tout le monde, soit à cris, soit modulant la voix, soit marmottant, soit souhaitant le désir de vouloir s'échapper de la solitude ; comme qu'elle fût la geôlière de l'amitié, de la compagnie. 
 
    
    Les têtes, les nôtres, abandonnent le plaisir de la convivialité aux dictées de n'importe quel dogme. Et, compte tenu que la doctrine n'est qu'une chaîne de production au profit de leurs prêtres, ceux-ci conviennent que l'exercice de celui-là se place dans les mâles, là-bas où la faute d'air étouffe la pensée libertaire.
 
    
    Pourtant, dans les femelles, le dogme leur a laissé la faculté de n'avoir besoin de tête autre que de se faire de celles-là de leurs partenaires ; n'importe pas où elles placent leur étalage (autre faculté qu'elles ont acquise) les abrutis se feront jusqu'à vautours pour y aller se l'en prêter volontiers. 

mercredi 22 mai 2013

IL A PU ÊTRE COMME ÇA

    Depuis cette époque-là perdue dans la nuit des temps, dont l'humanité a commencé voir sans voir, qu'il y avait d'espaces dans l'espace, tellement l'espace n'en fût qu'une profusion d'espaces, infinies pour que notre misérable convoitise n'arrive jamais à voir le but, le voilà ce qui nous a fait imaginer dieu.
 
   
    Une fois que l'on a tiré dieu de l'imaginaire, on l'a placé à l'inconsistance, pour nous nous tenir à la consistance, laissant aussi l'inconsistance en prix, auxquels y parmi, ils soient dépourvus de consistance, pour pouvoir accumuler celle-ci, ceux-là qui se sentant patrons, cela les a faits se croire (comme nous tous presque) que consistance et inconsistance se puissent réciproquement tenir ou non tenir.
 
   
    Quelque chose qui ne devrait se passer, si bien qu'en se déroulant, elle fait comprendre l’incompréhensible, ce qui n'est que les plus pressants à croire en dieu, ils résistent s'aller chez lui ; généreux messieurs-dames qui laissent place aux pauvres dépourvus… mais attention tous ! quand la vie commence nous montrer que tout n'est que fumée, personne n'arrivera, le veut ou non apprendre, apprendre la leçon, d'abord parce que la mort est fugace, et après il n'y a d'autre, la leçon ne servirait à rien.

dimanche 19 mai 2013

GÊNANTE ET INDISCRÈTE IMPATIENCE

    De la patience, laquelle est perturbée par la gênante et indiscrète Éris en se mettant entre les amoureux les faisant devenir impatients (aux fils des dieux, d'elle-même, ses frères pourquoi pas ; pourtant ses sœurs, soient-elles filles des dieux ou d'elle-même, ne s'impatientent jamais) pour gâcher son désir, un sage a dit :
 
 
    L'amour qui n'est pas conquête, sinon désir, comme tel il faut le tenir, puisqu'en considérant sa conquête comme le but, l’échec qui dans celle-ci en devient ou conquête… peut-être ? C'est une affaire dont l'impatience ne fait point d'erreur, ni pour les chasser dans le premier coup, ni pour les qui se sont fait cette première impasse, pour gâcher leurs illusoires esprits.     
  
 
    Aimons toutes les femmes (un autre sage a conseillé, pour que personne ne reste, ou lui-même, sans caresses de femme), filles comme filles, mères en qualité de mères. C'est ainsi, comme tous, que nous pourrons partager tout le reste dans les affaires de l'amour.  

vendredi 17 mai 2013

DISCRIMINATION AU VIN

    Il est inconcevable, il est inadmissible, il est intolérable ; somme toute (et plutôt que pour que non tout commence par in… bien que sans pouvoir éviter que cela finisse en… able). Il n'est pas présentable, que l'aberration est l'abstème courante, celle-ci qui impose son critère sur cela, dont on définit la composition du corps humain, en tout qu'au liquide l'y correspond ; en plus d'un 65 % de l'eau, on dirait que le vin, père de toutes les boissons, en ce qu'aux gens normaux y correspond, fusse fait de saucisson.
 
     
    L'eau ! L'eau ! L'eau… bien sûr qu'elle est importante y parmi d'autres choses, pour humidifier la terre, dont les vignes l’extrairont réconfortée, parfumée, goûteuse, spiritueuse : soit le vin, qui pas seulement fait pour ce plus de 65 %, sinon qu'anime notre complète intégrité.

dimanche 12 mai 2013

DEUX CRÉATURES, OU LA RAISON DE VIVRE

    Ra se lève du lit, pour de ses rayons faire cuire le bouillon de culture, où s'est cuisiné la vie ; pour à celle-ci le donner le sens d'être, en créant de ces mêmes rayons-là « l'art » ombrant lui, dans le creux façonné entre les seins des femmes, qui pour qu'il perdure dans le temps, ont mis les appendices prisonniers d'insinuants soutiens-gorges ; pour qu'ils ne perdent point de leur exubérante vigueur.
 
    
    Raison de vivre, raison d'être
    Vivat les seins de femme !
    Vivat les soutiens-gorge !
    Vivat la République.
   Ceci de la République, il y a surtout pour cela de l'équité.

INTERVENTION DES FÉES ÉTRANGÈRES

    Les chats, assez de l'en être, ont mis toutes leurs prières aux dieux n'importe quels, pour non seulement muter eux en chiens, sinon pour, en un revanchisme sans précédent, faire muter les chiens en chats. Qu'en n'existant pas de dieux, ce ne veut dire qu'il est dénué de la chance, et comme celle-ci prend bien dans l’imbécillité, elle a fait que le souhait des chats soit recueilli par l'oreille d'une fée marraine, qui à ce moment-là n'avait rien à faire (cela qui n'est rien d'étonnant, on verra) cette fée, porteuse de l'oreille ramasseuse, répond capricieusement en faveur du pas moins capricieuse sollicitude, d'une aussi autant soudain que surprenant défaut de professionnalisme, dont la faveur octroyée aux uns il n'a point observé le tort qu'elle a causé aux autres.
    
    Pour corriger cette erreur-là, il y a dû intervenir une autre fée marraine, qui si bien moins belle et délicate, beaucoup plus expérimentée, ce qui faisait que la faute de professionnels dans le métier qu'elle fût trop occupée comme pour faire les choses comme il faut, la question est que l'expérimentée fée, pour se tirer d'affaire, a fait du raccommodage de la situation, un rafistolage, mutant les souris en félins majeurs, soit en tigres…
 
   
     J'ai su depuis cette affaire qu'une autre fée marraine a dû intervenir, mais la chose, j'ai su aussi, n'a pas marché non plus bien du tout, peut-être, cela qui ne marcherait jamais comme il a marché auparavant de l'intervention… quelle manie de s’immiscer en réparer problèmes que les autres n'en ont, les créant, pour les faire irrésolus par toujours.

mercredi 8 mai 2013

FABRICATION DU MYSTÈRE

    Nous, les humains, avons fabriqué « le mystère » soit l'impuissance, l’incapacité, de tout immédiatement vouloir savoir, ce qui n'est incapacité ni impuissance de fait, sinon que ne pas vouloir reconnaître l'ignorance, la nôtre ; reconnaissance qui ne serait que le début du dur chemin à la connaissance.
 
    
    Lorsqu'une fois le mystère fut fait, le voilà la plus grosse affaire que personne n'eût jamais pu concevoir, se soutenant celui-là d'à plus ignorance plus avantageuses affaires, celles-ci qui sont devenues les animatrices de jeu du commerce de l'absurde, dont les supposés gagnants, soit les marchants, l'en sont ; le temps est déjà en train de le montrer.
 
     
    Le mystère lui-même est sans mystère ; le mystère est la foi, parce que dans celle-ci on n'a rien à démontrer ; le mystère est dieu, parce que, y avec on est fait fort noyaux de pouvoir, d'où à moins dieux plus gros noyaux, d'où aussi se peut déduire que, d'un seul dieu il se ferait un noyau absolu, qui après d'avoir absorbé les autres noyaux (ce qui est une question de noyaux) se dévorerait soi-même.
 
   
    Bref : il est irréfutable que les ennemis des dieux sont : clarté, évidence et connaissance, soit « le démon ». Attention : madame Merkel et ses acolytes, ils ne sont pas des démons, ils sont des dieux… prétendent quand même.

vendredi 3 mai 2013

MARIONNETTES SUSPENDUES D'UN FIL

    La vie est quelque chose comme quoi, elle fut suspendue d'un fil, prit celui-ci d'aucune part, ce qui lui fait aussi incompréhensible à notre capacité de compréhension comme qu'il n'arrive non plus à aucune autre, de cet ensemble d'autant qu'il y en a, parfois les vents entremêlent les uns les autres faisant entremêler les vies lesquelles d'ils sont suspendus… parfois les vents étant si forts qu'ils font chuter quelques vies dans le vide, trop tôt, à l'espoir de vie prétendu.
 

    Y parmi les marionnettes de ces fils suspendues, les nôtres, prétentieux humains, qui souvent, trop souvent (autant que nous pouvons) de tant nous charger chacun du poids de la vanité, de peur que notre fil correspondant casse du surpoids, on tire profit des troubles que les vents façonnent pour le ficeler à d'autres, lesquelles n'ont pas su grossir, pour se soutenir à leur compte, pensons-nous souvent, trop souvent, que le fil devenu une corde l'en va éternellement faire… comme quoi l'éternité fut.
 

mercredi 1 mai 2013

LE BONOBO HABILLÉ

    Un amoureux, après de fort réfléchir sur son sort. Conclusion faite, attend le bouc émissaire pour la raconter, tombant en proie sur le seul banc du parc où avait par là celui-ci qui était juste le sien, un vieil homme sans souffle pour pouvoir reprendre la marche.
 
   
    Être amoureux, commence à réciter sa conclusion, l'amoureux, est comme avoir un pouce à l'oreille, un grain dans le cul et une engelure dans l'orteil, toutes les trois choses ensemble. Ainsi, il suffit chacun d'un seul de tous les deux côtés, l'en alternant au goût du souffrant. Soit piégé dans son propre piège, à tort ou à raison, il sera taquiné, sinon pour cause de l'un, pour cause de l'autre. Aucun repos n'existe pour l'amoureux ! Pourtant, que l'on se sache, personne, pour se soigner de tel ensemble de maladies, ne veut pas se vacciner. En castrant, peut-être que cette option ne soit pas résolutive. Parce qu'on pourrait ajouter aux piqûres produites par celles-là, la coupure de soi, et tout cela sans délaisser le désir (c'est-à-dire le problème). Par ailleurs, on pourrait, je pense, se faire bonobo, ce qui soignerait aux amoureux de toutes les piqûres. 
 
 
    Le vieil homme, autant sage par sage que par vieux, lui répond : bonobos, il y a parmi nous plus que toi, tu t'imagines ; ils se dissimulent habillés, les misérables faux complaisants qui incitent à renverser un marché depuis toujours tourneboulé. Ainsi, le vieil bouc se fait agir des ailes et part.