ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
Jadis, quelques fainéants ont inventé Dieu pour se faire ses prêtres ; ils l’ont peint d’une bonté absolue.
Bref, les prêtres ont fini par se faire eux impitoyables !
Les animaux avec vêtements, pour nous « péjorativer » y parmi, employons la dénomination d'autres animaux, surtout les domestiques.
De jeune homme, je faisais part d’un troupeau de fêtards qui se désaltérait par tous les abreuvoirs qu'on trouvait.
Bref, la cuisine était si petite que nos halènes se faisaient confondre… Cette soirée, je n’ai pas rejoint le troupeau !
En réfléchissant au monde dont je vis.
La soirée, lorsque je me suis en train de m’endormir, un étrange songe m'a envahi.
De tous est connu (j’en suppose) ce que dit un vieil adage : « L'histoire est écrite par les vainqueurs ».
À l'abri des montagnes, la prairie s'était fait garnir d'une grande diversité de belles fleurs.
Un jour, un pasteur y faisant pâturage pour son bétail, celui-ci qui a fait cuisiner les fleurs dans son estomac, mais non les grains, lesquels furent éparpillés avec les restes de la cuisson par le terrain autrefois fleuri.Il y a longtemps déjà que l’Orient, attiré d’une nostalgie incongrue pour l’Occident, a ouvert une fenêtre vers celui-ci pour s’y communiquer.
Ainsi, tandis que le temps s’est fait passer, l’Occident s’est fait pourrir.
Maintenant, l’odeur de la pourriture s’est fait pénétrer par la fenêtre ; donc, il faudra la fermer jusqu'à ce que dans les engrais poussent les fleurs.
L’évolution de l'espèce humaine pendant son parcours a fait évoluer l’intelligence, telle qu’on la connaît maintenant.
Pourtant, les choses ont mal tourné, en confondant intelligence et pouvoir.
Car, on a cru qu’on atteindrait le pouvoir plutôt qu’à l’imbécile ineptie des avachis qu’à l’intelligence de leurs bergers.
Soit, la puissance rythme bien avec l'imbécillité.
Lorsqu’on se balance entre la religion, n’importe quelle, et la haine ; ce qui prévaudra sera la haine.
C’est pour ça que la pensée intérieure doit se garder à sa place, c’est-à-dire : à l’intérieur de chacun.
Le ciel est là, toujours ouvert à l’espoir, mais nous, les humains, nous tenons, entêtement, sur la terre : une roche infranchissable.
Cette perte qui, en raison de notre indolence, nous tient accrochés sur la terre, où nous peinons à la creuser pour nous faire enterrer.
Toute une faune humaine (dont deux perles : un chat qui observe et un chien qui dort) au-dedans d’un bar.
Laquelle qui, pour tout faire, attendait la mort.Ne pouvant pas mesurer le tout, ainsi en temps comme en espace, on a inventé l’infini.
Ensuite, on invente Dieu pour dissimuler l’incompréhensible ; ce dieu qui a créé le tout, pour se recréer l’homme (la femme est une côte de celui-là ou quelque chose comme ça).
Histoire, dont les supposés prétendus élus de Dieu font pour dissimuler de la croire.
Et, c’est dans l’attente que reviendra la verticalité.