ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
lundi 28 octobre 2024
vendredi 25 octobre 2024
D'UN TAILLEUR À UNE COUTURIÈRE
Une fois l’empire romain tombé dans un lourd sommeil, les démons se furent habillés en anges (noirs pour se faire confondre dans l’ambiant obscur).
mercredi 23 octobre 2024
NI EN BAS NI EN HAUT, EN TOUT CAS HORS DE LA PYRAMIDE
Dans la planète Terre (quelque chose de minuscule dans l’immensité de l’espace) depuis de se faire regorger de vie, y germe la fourmilière humaine.
vendredi 18 octobre 2024
LE BIPÈDE SANS PLUMES, À L'AVIS DE PLATON
Depuis l’espace extérieur, la planète Terre, où nous sommes, se fait voir bleue ; alors qu’ici-bas, elle devient plus ou moins verte.
mardi 15 octobre 2024
FAISEUR DE MURS
C’est probablement le manque de plumes, ce qui, au bipède déplumé, l’a fait devenir le plus grand faiseur de murs, pour se protéger du manque de celles-là.
Il a bâti des murs partout : chez lui, dans le terrain duquel il a fait sa propriété, dans sa tête (même qu’elle soit bien assortie de poils, dont pensée ne sort, mais surtout aucune d’ailleurs n’entre non plus) et même, il emmure aussi des plus gros, auquel il tient par son « Créateur ».
Évidemment, le bipède déplumé n’aime absolument la nature, qu’elle ne soit pour faire des murs avec ; la liberté se fait un poids trop lourd pour lui.
jeudi 10 octobre 2024
SI ON ABUSE DE LA PATIENCE D'UNE PLUME, ELLE S'ENVOLERA
En chevauchant une plume, dans le monde dont on est, on laisse les traces de la pensée…
mercredi 9 octobre 2024
À L'ARRIÈRE, RIEN DE NOUVEAU
Quand un troupeau de chevaux (par exemple) voit venir un danger, ils s’emballent pour s’y échapper.
dimanche 6 octobre 2024
J'SAIS PAS QUI A COMMENCÉ LA RÉVOLUTION : SI LA PUCE OU LE CHIEN ?
En faisant un arrêt dans un village entouré de vignobles, pour me désaltérer, un vigneron du lieu s’entretient volontiers avec moi. La main tendue, tenant un verre de vin, il me raconte une histoire de bergers.
Une fois, un berger, orale le vigneron, aidé de son chien-berger, conduisait un troupeau de moutons à l’abattoir. Le chien-berger s’arrête pour se gratter le cou, ce qui facilite à son cœur d’irriguer son cerveau endormi ; donc, éveillé le muscle, il entre en raison. Ensuite, le chien montre leur destin aux moutons et les encourage à se révolter, ce qu’ils ont fait.
Alors, pendant que les révoltés se révoltent (c’est le sien), l’ensemble de bergers s’en prennent à chasser le chien devenu révolté et avec les chiens autres, soit ils se contaminent de la peste révolutionnaire !
Je ne sais pas à qui cette histoire me fait souvenir…