LA FILLE DE L'ÉPICIER

    S’appelait Hélène, elle marchait, dandinant ses ordonnés volumes, dont les yeux tous de tous les gars du quartier se rendaient esclaves, enchaînés avec le parfum qu’elle dégageait.

    Pourtant, le temps, oxydant incontournable, a tout fait mûrir.

    Et, Hélène a bien mûri : « la belle de son âge » ; les amoureux la regardent encore et encore… aux yeux tendres, parce que maintenant leur mécanique, oxydée, était déjà hors d’usage.

JUSQU'À LE FEU SE RÉVOLTE

     Il y a des peuples vraiment ingrats ; quand un autre « élu par Dieu » ouvre pour anéantir n’importe lequel de ces ingrats (pour leur bien, bien entendu) en plus de ne pas se laisser faire, il se révolte.

    Alors, personne ne pense d'aucune façon que les anéantisseurs après anéantir les populations (ils le croient) abandonneront leurs terres. Ils les travailleront ; ainsi, pas par eux, mais pour eux, ce qu’ils feront faire aux survivants à l’anéantissement, devenus dociles à cause.

    D’où peut se déduire : si Dieu a élu un peuple pour qu’il sillonne les océans à la recherche d’autres peuples incrédules, pour les faire croyants dans la vraie foi, voire celle de l’Électeur.

    Bref : fait accompli, ou presque, les élus reviennent, prêts à mettre leur ordre par ici, leur point de départ.

LES COLOMBES RÉVOLTÉES

    Parmi les nombreux peuples existants, habités chacun de plus ou moins de personnes, qui veulent uniquement vivre en paix (même qu’il en soit sans la grâce de dieu), des minorités veulent faire la guerre, dont s’en battent, lesquelles souhaitent vivre en paix.

 

    … Il fera se dégager du rêve des méchants pour que la réalité soit accomplie !

    Mais jamais en les tuant, parce que cela les libérerait de sa méchanceté ; la punition parfaite est de les faire vivre entre leurs victimes (exception faite desquels étaient en capacité de nuire, ceux-ci seront bien mis en cage) et que tous eux s’oxydent de leur méchanceté.

LA PARABOLE DE L'ENFUMEUR

    Il était une fois un homme qui, pour enfumer ses voisins, faisait brûler des feuilles mortes chez eux.

    C’est alors que les enfumés, ne voulant absolument pas l’en être, étendaient les feux. L’incendiaire décide donc de faire un gros feu « de désenchantement » chez lui, dans le but de répandre la fumée par le voisinage.

    À cause, l’intrépide et impénitente incendiaire s’est fait devenir brutalement proie de ses propres flammes.

MINABLES DÉFRICHEURS

    Les défricheurs de l’histoire n’arriveront jamais à la défricher dans les pays dont elle est enracinée depuis plusieurs siècles ; voire, parfois, des millénaires d’années.

    Ces despotiques, qui en plus de mauvais cultivateurs, ne veulent pas que raser la diversité pour y semer de la zizanie pour mieux dominer.

    Les adorateurs de Mammon ne réussiront pas à mettre ces peuples-là dans les bras de Morphée pour qu’ils se laissent faire, lesquels sont déjà dans les bras d’Athéna.

ET, L'HOMME A CRÉÉ DIEU

    C’était un quidam implorant l’aide de dieu, quand un autre passe par là, à qui la brise souffle à son oreille les souhaits du suppliant, ce qui fait à ses oreilles tirer de ses lèvres un sourire.

    Le pieux, à l’air inquisiteur, réprimande le moqueur de son attitude vers le créateur, le lui menaçant de la colère de celui-ci.

    Le porteur d’oreilles et de lèvres tire : gardez-vous le calme ; l’imaginaire que vous les croyants aviez créé, à votre image et ressemblance, ne va pas ni mal me faire à moi, ni bien à vous.

RÉVEILLER L'OPTIMISME

    Il était une fois un peuple endormi avec une berceuse, que des escrocs sans scrupules lui susurrent, tandis qu’ils chargeaient sur leurs charrettes les sueurs des endormis pour s’en aller avec… arroser ailleurs.

    Les susdites charrettes furent tellement surchargées, qu’une après l’autre, toutes ont cassé les axes.

    Le fracas causé à cause de leurs cargaisons renversées fit réveiller les obéissants, qui se sont arrêtés inopinément d’écouter les préceptes de leurs mandataires, tombés dans la panique.

EN SUPPOSANT QUE DIEU EXISTE

    En supposant que Dieu existe, il devrait être en outre que tout-puissant, doué, d’une sagesse infinie, ainsi qu’être omniprésent.

    Quel besoin aurait-il donc d’être représenté devant ses créatures (les humains, c’est le cas) par quelques-uns y parmi.

    Ceux-ci, souvent de douteuse réputation, de sagesse appliquée à la spoliation des adeptes, ce qui les fait puissants d’entre eux.

L'HOMME : LA FABRIQUE DE LA STUPIDITÉ

    Pour faire une comparaison, prenons d’entre les canidés les chiens et les loups.

    Les chiens « civilisés », presque toujours, vivront au chaud, seront nourris et auront des soins médicaux, pourvu qu’ils fassent tout type de bêtises au goût de leurs maîtres ; ils ne pourront rien faire au sien qui ne soit pas en cachette. Pourtant, les loups sauvages doivent se chercher leur nourriture ainsi que prendre soin, surtout de l’homme, qu’il ne les chasse pas, parce qu’ils ne font pas des bêtises à son plaisir.

    Alors, réfléchissez-vous, qui seront les plus heureux, si les chiens ou les loups ?