Le silence s’était fait si dense qu’aucun souffle ne le traversait.
Je me sentis mort.
Mais, la faucheuse s’en est allée.
Elle n’a pas voulu rester chez moi.
En me réveillant, j’étais tout seul.
ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
Le silence s’était fait si dense qu’aucun souffle ne le traversait.
Mais, la faucheuse s’en est allée.
Elle n’a pas voulu rester chez moi.
En me réveillant, j’étais tout seul.
Les carnassiers voient, sous la peau des herbivores, leur nourriture, lesquels prennent la sienne sur la terre dont il y a de la verdure.
D’entre le monde il y a lesquels se démarquent, en se ressemblant aux tirelires, ils aiment se faire remplir de l’argent.
Dans le monde dont tourne le nôtre, où il y a d’autres mondes, il y a parmi « le nôtre » celui-ci régi autoritairement par de petits satrapes, qui se prétendent être grands.
Après avoir créé dieu, à son image et ressemblance, l’homme a créé le trône dont il se fait roi (gracié par celui-là, disent les intronisés) pour tout dominer sur la Terre (susdite « le paradis »).
À l’école primaire, que si bien laïque, la maîtresse (qui, probablement faute d’homme, s’était consacrée à Dieu) nous expliquait :