NE SE RÉVEILLE QUI NE VEUT PAS SE RÉVEILLER

    Comprendre et apprendre, c’est quelque chose d’inné chez l’humain, mais il faut s’y efforcer quand même.

    Cependant, les temps sont venus, dont le troupeau, depuis que l’on est né, se fait bercer, jusqu’à l’assoupissement, en y restant voilé, sous les draps de la stupidité.

    S’en servant de cet état, les stupidités congénitales empêchent le développement de l’humanité tout entière.

LES VACHES, CONSPIRATIONNISTES INCONSCIENTES

    Dès Pierre Le Grand jusqu’à Vladimir (le petit en considérant leurs tailles), la chose, même en ayant le même but, n’a pas réellement changé qu’en les formes… Voire :

    Pierre, pour avoir accès aux mers aux eaux chaudes, s’est servi du petit peuple. En fantassin habillé pour conquérir des terres par ces mers mouillées, pour y bâtir des ports, il déshabille les fantassins et les rhabille en matelots.

    Vladimir, qui sinon si haut, plus adroit, tenant déjà la sortie aux mers, aux eaux chaudes, il veut aller plus loin. Ainsi, il achète tout le lait et ses dérivés que les pays de leur sud produisent, ce qui fait exploser le nombre de fermes à vaches.

    Les pets de tant de vaches feront augmenter la température partout… Alors, les eaux réchauffées de l’Arctique mouilleront bientôt les côtes du grand Nord.

    Quel malin « le petit » Vladimir !

LES PETS, LE GROS PROBLÈME POUR NOTRE PLANÈTE

    Dans une certaine monarchie bien assortie, autant de vaches que d’éminents cerveaux d’entre ses vassaux, ceux-ci se sont mis à la manœuvre pour se défaire de celles-là.

    La population bovine pète, en causant ces flatulences, tellement de la pollution qu’elles font réchauffer le climat, ce qui entraîne d’énormes pertes aux fournisseurs d’énergie.

    Je suis enclin à nous défaire aussi de tous les animaux péteurs. De même que créer une police anti-péteuse pour surveiller les humains péteurs, lesquels doivent être ostracisés aux aussi

    Les personnes bien ne pètent pas.

LÀ, OÙ LES COURBES DEVIENNENT UNE LIGNE DROITE

    En descendant la si sinueuse route, qui me fait balancer, d’une montagne dont les chênes avaient jeté par terre des habits, je sens les odeurs de la vie et de la mort.

    Là-bas, dans la plaine, tout est linéal, aussi la route que les sillons sur la terre, que les charrues ont fait en l’arrachent la peau.

    J’y prête le nez, mais je ne sens pas, ni l’odeur de la vie, ni celui de la mort. Ce que je sens est la puanteur des engrais qui émanent des plaies par les charrues causées.

LES PORTE-PAROLE DE DIEU SUR TERRE

    Soit Dieu, soit le concept que l’on a de lui, ni l’un ni l’autre n’ont propriétaire, que ce soit de toute l’humanité.

    Car, les humains, probablement, en nous écartant de la loi (pour l’appeler de quelques manières) de la nature, on l’en a fait loi de Dieu, en conséquence, lui aussi, pour nous défendre, nous « les grands prédateurs » de nous-mêmes, avec la parole.

    Pourtant, la chose a mal marché, déjà qu’encore et encore, il y a eu des malins qui se sont faits maîtres de celle-là.

LE DÉMON DEVIENT HÔTELIER

    Si à cette époque de l’année le froid se fait sentir, prenez compte que la chose va encore empirer.

    Par ailleurs, les denrées alimentaires s’envolent ainsi que le vin… ni les graisses nous aideront à combattre le froid, ni le vin à le faire oublier.

    Je m’aventure à pronostiquer que les places à la chaleur, dans l’enfer, vont être très sollicitées.

LA BELLE ET LE CORNU

     La belle délicate et son amant cornu, que non cocu, se reposaient placidement dans la clairière d’une forêt. 

    Soudainement, d’entre les arbres, qui entouraient celle-là, se sont montrés des gueules de crocs armés.

    L’amoureuse, effrayée, s’en prend à crier. L’amoureux vient au secours en mettant ses défenses en garde.

TOUT CELA QU'IL Y A À VOIR, C'EST DÉJÀ VU

     En faisant vaguer le regard, par-ci par-là.

    Si l’on ne veut rien voir.

    C’est qu’il n’y a rien à voir.

À CHACUN SA PRISON

    … Et, Dieu a créé l’homme… Le pauvre ! Il ne soupçonnait absolument pas de la nombreuse qu’allait être sa concurrence. Car Dieu l’a laissé croire qu’il, soit l’homme, était fait à son image et à sa ressemblance.

    Et, de même, tout cela que le créateur avait, plus que créé, ordonné, auparavant, du jour fatidique, d’avoir créé sa concurrence, était au service de celle-ci, exception faite du putain pommier, qui a tout bouleversé. Puisque cette plaie de petits cons, en dévorant une pomme après une autre sans arrêt, leur a ouvert l’appétit de l’interdit. C’est alors que, sous le profond sopor d’une mauvaise digestion, ils se sont crus dieux. En conséquence, chacun y parmi a prétendu que les autres l’adorassent.

    Pauvres bestioles ! On refuse de comprendre que l’on est un prisonnier sur Terre. Dieu, qui doit être un type sage, malgré tout, ne nous a pas offert l’univers, dont il, lui-même, est prisonnier à son tour.

QUAND LES ÉCRANS PHAGOCYTAIRES SERONT ÉTEINTS !!!

    Au-dedans des oreilles que sont prêts, ces derniers temps durant, se font couler des échos dont on peut entendre : il aura des coupures, entre autres, d’électricité.

    Les politiciens, les nôtres, après se faire couper les ailes, il y a longtemps déjà, les pieds maintenant, pas la tête, il faut l’avoir, mais ils pourriront ce qui leur reste.

    À cause des coupures provoquées, évidemment, lorsque les personnes sont sorties du travail. Chez eux, leurs écrans phagocytaires éteints, ils deviendront des esprits libres.

PAS DANS TOUS LES COINS IL Y A UN BAR

    Il était une fois un homme, qui s’en étant fait captif chez lui (à cause d’une malsaine langue de bois), où il n'avait absolument rien pour la mettre en état, décide de s’en aller à la recherche de remède.

    Au captif, libéré maintenant, ne le sentant pas bien, le plein air, il se met à l’abri dans le bar du coin. À voix presque inaudible, il commande quelque chose à la patronne, qui, au regard suspicieux, lui sert un petit café. Les paroissiens par là, chacun accroché au verre y correspondant, en regardant le renégat prendre avec deux doigts la tasse de café, ne le regardent pas moins suspicieusement que la patronne. Captif à nouveau, le récemment libéré, tant de regard suspicieux, il s’en va ailleurs chercher un autre coin dépourvu de suspicion.

    Passé le mauvais coup, il entre dans un autre coin, où une sinistre femme l’interpelle tandis qu’une autre le lui traque par le dos. Elle lui demande, cherchez-vous Dieu ? Il est là, elle lui dit, signalant du doigt vers le haut.

    Excusez-moi, madame, mais je suis une taupe, dit-il.

IMPITOYABLE CONCURRENCE

    En méditant sur l’existence de Dieu, tout ce que j’ai pu déduire (d’après ses pitoyables adorateurs) est uniquement :

    «  Le seul but pour l’impitoyable est que tout le monde l’adore ».

    Le malheur pour le monde tout entier, c’est que chacun d’entre les adorateurs de Dieu est aspirant à l’en être.