vendredi 31 mars 2017

VIVE L'IRRÉGULARITÉ!

    Quand le cœur bat, le combustible qu'il pompe au cerveau se fait sentir en traversant la carotide ; le rythme est marqué à coups de tambour.
  

  
Le médecin conseille :
  Il faut ne pas se faire abattre par les affaires de l'amour.
   Car :


    
L'amour musiqué avec violons, cela fait altérer la cadence du
rythme, en la montant, la baissant ; donc, si la pompe perd régularité, autant fera le cerveau.

lundi 27 mars 2017

DÉMON OU DIEU, VLADIMIR EST PARTOUT

    Pierrot était un orphelin (qui malgré avoir dépassé la cinquantaine, comme s’il n'était pas prêt à mûrir, se faisait conserver son prénom d'enfance) lequel ne connaît de parents autres que sa grand-mère, qui l'avait fait de mère, le lui refaisait, car la sienne avait donné sa vie au se l'offrir à lui.
 
 
    Son père, négligent de la joie dont le nouveau-né pouvait apporter, mourut, lui aussi, comme mourut sa mère, son épouse… son amour ! D'où Pierrot est resté aux soins de son aïeule, mère à lui, mère à elle. Il ignorait même bien, si de sa mère ou de son père, ou si elle était mère de quelqu'un qui ne fût pas lui-même. Cette gentille dame qui ne connaissait homme autre que son bien-aimé. Pierrot, aussi, qui ne connaissait autre femme que ne fût pas la tavernière du village. Bien qu'entre eux n'y ait pas qu'une relation strictement commerciale. En ce qu'au négoce de celle-là en concernant, bien entendu. Ainsi, comme son aïeule ne connaissait aucun homme que ne fût le toujours à elle, petit Pierrot, à qui la pieuse s'était donnée en corps et en âme. En étant son autre amour, le PC, de la main duquel, de jeune fille, elle avait servi dans la résistance, dont elle suivait attachée encore à sa doctrine. Messe dite depuis l’URSS, ce qu'elle a transféré, sans s'apercevoir, à la Russie d'aujourd'hui, messe qu'elle suivait attentivement jour le jour. La question est que la pieuse vieille dame, fervente dévote, ces derniers temps durant, s'est fait prendre d'une grosseur si focalisée, qui malgré son âge, elle était bien une grossesse.
 
 
    Pierrot, ayant enquêté sur la paternité de son beau-père ou oncle. Il conclut qu’à faute d'homme dans le lit de l'aïeule. Il ne trouve pas d'autre, mais dans l'écran dont elle écoute la messe du Parti, attentivement, peut-être trop attentivement… ce Vladimir est un démon ou un dieu, car il est partout : effet et cause.    

mardi 21 mars 2017

LES INDIGNES SUCENT DE LA DIGNITÉ

    Le travail est une punition inhérente à la vie ; tout ce qui est vie, d'une manière ou d'une autre, doit travailler pour se soutenir.
 

   
Pourtant, au moins chez nous que je sache, il y a des feignants qui, pour ne pas travailler, depuis longtemps, ils prônent, d'un certain succès, il faut le reconnaître, des bontés du travail, aussi comme la dignité qu'il apporte. Ces trompeurs faignants qui, pour que lesquels suivent leurs conseils, ne souffrant pas de la susdite punition, ils se font punir de l'indignité, en accaparant la plus-value de l’effort des travailleurs, parce qu'ils poursuivent légers, sans encombre, sans repos, dans la sanctifiante course vers la dignité.
 

   Ces personnes indignes, les pauvres, qui pour ne pas faire du travail productif, ils l'en multiplient bien, en faisant de l'improductif.

dimanche 19 mars 2017

DEUX AMOUREUX EN FAISANT DES CONNERIES

    Elle battait convulsivement les bras, tellement un signaleur en tête de piste, dont au fond un lourd avion battait, lui aussi, les hélices.


    Lui, l'avion, commence donc à avancer paresseusement pour immédiatement prendre vitesse, ses bras ouverts, « ses ailes » font qu'il s'envole en passant au-dessus la signaleuse.
 

  
Peut-être, il, l'avion, a eu peur de l'écraser au se rencontrer avec. Pourtant, il se brise bien son cœur… peut-être le sien à elle aussi…

vendredi 17 mars 2017

UN LOUP INTELLO ET UN MÉCHANT BÉLIER

    Un jeune loup qui, pris de la mode du moment, s'était fait intello. En étant assez de causeries de loups, il abandonne la meute souche pour s'en aller chercher de nouveaux horizons, dont il suppose de trouver de nouvelles sources de connaissance.
 

    Là-bas était la vallée, toute verte, toute fleurie de délicates marguerites desquelles un gros troupeau de moutons mangeait, délicatement comme ne peut pas être autrement. L'intello y va. La rencontre avec le troupeau l'en fait regrouper. Du groupe est sorti un vieux bélier, aux chairs peu appétissantes, faire face au fauve, celui-ci qui s'avance, le disant au vieux : je ne viens pas chez vous pour manger, sinon afin de causer ; pour apprendre ce que chez moi, je n’apprendrai jamais. Se retournant vers les siens, la brebis leur dit : il ne vient pas faire du mal, il ne veut pas que causer. Par ailleurs, ajoute le bélier, qui par vieux sage, lui tout seul peu dégât peut faire à un si gros nombre que nous sommes. L'intrus est donc admis dans le cercle.


    Entouré l'intello de telle foule, dont chacun parlait du sien, il faisait, sans rien comprendre, tout comprendre, jusqu'aux herbivores qui, voulant connaître d'autres arts culinaires, ont fait de lui des mets ; insatisfaits, les laineux l'ont abandonné aux charognards.

samedi 11 mars 2017

LA PATRIE : LES CITOYENS, LES PARENTS ET LEURS ENFANTS

     La patrie aux citoyens, lesquels il y en correspond, est une sensation comme qu'ils furent des enfants, à leurs proches.
 

    La patrie aux citoyens, lesquels il y en correspond, est une sensation comme qu'ils furent des enfants, à leurs proches. Ce qui peut être un aller comme ci comme ça dont les parents qui ne veillent pas à leurs enfants ne méritent pas l'en être. Ou bien, la chose marchera toujours que les petits aiment leurs grands en répondant à leurs caresses et à leurs soins. Que non pour les gâteuses gourmandises qu'ils les offrent pour les attirer chacun à soi, ce qui ne fait qu'essaimer la famille, soit la faire disparaître ?
 
 
    Ce qui se passe fréquemment chez des ménages cassés, dont parfois, en plus, entrent en lice, concurrents étrangers.

mercredi 8 mars 2017

CONTRASTE ENTRE NOUS ET LES CROCODILES

    L'équilibre peut ressembler quelque chose d'ennuyeuse, mais il apporte la paix quand même.
 

    Voire, c'est le manque de nourriture qui fait féroces, par exemple, les crocodiles.
 

    Pourtant, chez les hommes, c’est l'excès de celle-là, ce qui nous fait devenir idiots.

mardi 7 mars 2017

UNE BELLE ABONDANCE

   Elle promenait solennellement son abondance, attirant les yeux de tous les faméliques épicuriens à son pas, là où se reflétait la convoitise de ceux-ci.
 

  Tel beau volume en mouvement étourdissait tellement les joyeux faméliques qu'ils se faisaient heurter entre eux, avec les poteaux indicateurs, et tout cela que se tenait debout… le sang coulait partout !
 

   
Ah la jalousie ! Celle-ci faisait aux concurrentes, pour dissimuler son mépris vers la provocatrice, se plaindre de la chaussée glissante à cause du sang versé.

dimanche 5 mars 2017

LE DÉPRIMÉ RÉJOUIT

    Une dépression, une si énorme que sévère dépression qui n'avait rien de mieux à faire, ne poursuit pas sa nouvelle victime, la tient chez elle, dont les murs se rétrécissent sur elle.
 

   
A-t-elle besoin d'espace ? Il sort donc de chez lui le chercher. Là, il le trouve, dans la rue, cette soirée froide dont elle est vide, presque, un vieux couple d'adorables vieux est par là, dandinant, ils ne sont pas arrivés chez eux encore.
 

   
Le déprimé arrive lui au bar du coin, où il entre évidemment à ce même instant dont les nombres du loto apparaissent
sur l'écran dont l'ex-déprimé vient de regarder.

vendredi 3 mars 2017

EN ADORANT UNE BOUTEILLE ...

    Assis autour d'une bouteille, celle-ci posée sur une table qui lui fait d'autel. Nous étions quatre potes, chacun tenant un verre à la main, tendue, suppliantes toutes, en attendant la grâce de la déesse, pour qu'elle y verse de son nectar.
 

   On parle, pour faire l'attente douce, pas moi, qui ignorant le sujet de la causerie, la tenais fermée, ce qui aidait à passer du temps, à moi, dur. L'un révélait que nous ne sommes qu'animaux de consommation, mis sur Terre pour le gavage par les extraterrestres pour se nourrir quand leur productivité était propice ; ce qui diverge un autre entre nous les quatre en ajoutant : si bien, les extraterrestres furent carnivores, omnivores même, ils trouveront par la Terre tout sort d’animaux autres beaucoup plus productifs que nous.
 

   L'autre qui comme moi gardait silence se fait écouter : pourquoi pas, nous ne sommes pour eux que des coquilles, dont ils pensent se mettre à vivre… vivre en nous… 
Ce que je ne sais, c'est qu'ils seraient si traînés, baveux et cocus que nous.