À
Compostelle, la surnommée St. Jacques par l’empire de l'un des
impitoyables "esperpento" qui en prenant forme de gargouille surréaliste, qui d'autre aidée, elle fait fondre de son haleine de feu et matière aseptique, matière voluptueuse n’existant que dans
les imaginations les plus lucides, laquelle s'étend pour façonner
un ciel des gris les plus beaux, les plus variés, par beaux ce qui excellera aux rêves que l'on puisse imaginer.
Voyageurs
qui faisaient chemin à Compostelle, lequel fut antan de la sagesse, et
qui fut faite plaie par l'empire des impitoyables, auquel
dont ses marchants ont imposé par son parcours, ne vous laissez pas vous
tromper des cieux balayés du bleu ; la nuit clignotante, la
même d'avant le venu du dieu barbare, dont ses barbares disciples
ont pollué le vieux chemin de leurs détritus ; la même nuit qui
depuis la nuit des temps, juste quand il s'est faite jour à nous ; tous nous les seuls coupables d'avoir nous avoir détourné du
chemin de la sagesse, pour nous faire adorateurs de la peur, de la
peur à l'en tenir.
C'est à vous, voyageurs chercheurs de la beauté (ou au moins ce qu'il est de supposer) que je vous conseille : quand vous atteindrez Compostelle, patientez-vous là, s'il le faut, que la gargouille "esperpentique" façonne dans les cieux les gris les plus beaux que vous aurez jamais vus, il vaut la peine je vous assure, la liberté est là-haut le jour durant, dans les étoiles la nuit, non dans les sinistres sépulcres de pierre bâtis par les esclaves des dieux, à eux, les dieux.
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