mercredi 5 juin 2013

LE FURET ET LA COLOMBE

    Ici dans le nord, où depuis longtemps des nuages, couvrir les cieux en laissant d'eux tomber sur terre des larmes, sueurs froides, épais voiles, moelleux manteaux blancs, parfois agressives bulles gelées, celles-ci à titre d'ultimatum dissuasif à notre résistance à nous laisser faire inviter d'autres manières de l'en faire, à cuver chez chacun de nous tous l'esprit de la réflexion, il est apparu le ciel ensoleillé, plutôt parce qu'il s'en est fait espace, parce que les nuages ont fait trêve.
 
   
    Le ciel ouvert, le soleil fait beaucoup de lumière. De cette cause les gens font effet multitude, foule qui déambule par rues, boulevards, places et parcs ; s’assit dans les terrasses des bars. Un furet qui rentre dans mon gîte de lui me fait sortir pour parcourir les rues, les boulevards, les places ensoleillées, et avant d'arriver sur la terrasse d'un bar, dans le parc, une colombe blanche, absolument inconnue de moi, sur moi chie la malveillante… c'est la guerre ! Je crie :  à la merde la trêve !

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