Ici
dans le nord, où depuis longtemps des nuages, couvrir les cieux en
laissant d'eux tomber sur terre des larmes, sueurs froides, épais
voiles, moelleux manteaux blancs, parfois agressives bulles gelées,
celles-ci à titre d'ultimatum dissuasif à notre résistance à nous
laisser faire inviter d'autres manières de l'en faire, à cuver
chez chacun de nous tous l'esprit de la réflexion, il est apparu le
ciel ensoleillé, plutôt parce qu'il s'en est fait espace, parce que
les nuages ont fait trêve.
Le ciel ouvert, le soleil fait beaucoup de lumière. De cette cause les gens font effet multitude, foule qui déambule par rues, boulevards, places et parcs ; s’assit dans les terrasses des bars. Un furet qui rentre dans mon gîte de lui me fait sortir pour parcourir les rues, les boulevards, les places ensoleillées, et avant d'arriver sur la terrasse d'un bar, dans le parc, une colombe blanche, absolument inconnue de moi, sur moi chie la malveillante… c'est la guerre ! Je crie : à la merde la trêve !
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