Exact, conclut-il !
ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
Exact, conclut-il !
Sinistres peintres qui, en voyant dans le monde deux mondes, peignent lequel tiennent par le sien en rose, ainsi que lequel des autres en rouge.
Les élus, en se regardant, croient qu’ils regardent leurs électeurs, lesquels se montrent heureux ainsi que fiers d’eux : ses maîtres !
La vie nous fait tous mettre dans un escalier dans lequel les uns le montent ainsi qu’à d’autres qui le descendent.
Tous, nous allons mourir, et même les soi-disant fils de Dieu « le grand forniqueur » qui se croient en aller (après la mort, évidemment) à la droite de leur père supposé, où curieusement presque aucun ne veut pas aller.
Là-haut, dans l’espace, dont les effluves de nos pensées s’envolent, tout est en ordre.
Pourtant…
(?)
Les haineux, pour haïr comme il faut, soit, en toute tétrique splendeur, ils doivent se placer dans le plus haut de la pyramide, de la société décadent… Soit, en ce qu’elle est devenue.
L’époque dont on vit est en train de se noyer dans les eaux turbulentes qui y coulent. La renaissance, depuis des eaux troubles, j’ignore maintenant ce qu’elle apportera ; quoi qu’il en soit, rien de pire, voyons.
Qui connaît les chats le sait : un chat, normal lui, ne se subjugue à maître ; là où il siège, il est le maître. Alors, je vais vous raconter l’historia de la fillette et le chat.
Maintenant les grelots musiquaient leur jouissance !