Pour avoir mangé une putain pomme du pommier de Dieu, celui-ci, radin et rancunier, il a châtié le larron, ainsi qu’aux hommes tous, à se gagner le pain à la sueur de son front.
ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
Pour avoir mangé une putain pomme du pommier de Dieu, celui-ci, radin et rancunier, il a châtié le larron, ainsi qu’aux hommes tous, à se gagner le pain à la sueur de son front.
Avaler les nouvelles des médias mainstream, c’est le même que manger de la soupe de lettres sans lettres, mais au vermicelle.
L’animal humain a l’habitude de baptiser ses congénères (péjorativement) avec l’appellation avec laquelle il a baptisé les autres animaux.
Un chien normal ; voire, sinon libre, bien plus libre que le congénère qu’il observe quand même, fait promener un couple, uni à lui par une espèce de cordon ombilical. Couple de mariés qui, à faute d’enfants, le lui traitent comme s’il était l’un.
Des couloirs, protégés par hauts murs pour que personne n’en sorte, dont le ciel fait toiture, façonnent le labyrinthe dont le peuple est prisonnier.
Assez de promener mes yeux par la planète Terre, en jouant les coudes avec les autres vivants, devenus concurrents, pour ne pas arriver à aucune part.
Sous les nuages règne le gris foncé : tout est sombre.
On doit promener la solitude, la sienne, en solitude.
Alors, on cherche de la compagnie dans une taverne.
Exact, conclut-il !
Sinistres peintres qui, en voyant dans le monde deux mondes, peignent lequel tiennent par le sien en rose, ainsi que lequel des autres en rouge.
Les élus, en se regardant, croient qu’ils regardent leurs électeurs, lesquels se montrent heureux ainsi que fiers d’eux : ses maîtres !
La vie nous fait tous mettre dans un escalier dans lequel les uns le montent ainsi qu’à d’autres qui le descendent.
Tous, nous allons mourir, et même les soi-disant fils de Dieu « le grand forniqueur » qui se croient en aller (après la mort, évidemment) à la droite de leur père supposé, où curieusement presque aucun ne veut pas aller.
Là-haut, dans l’espace, dont les effluves de nos pensées s’envolent, tout est en ordre.
Pourtant…
(?)
Les haineux, pour haïr comme il faut, soit, en toute tétrique splendeur, ils doivent se placer dans le plus haut de la pyramide, de la société décadent… Soit, en ce qu’elle est devenue.
L’époque dont on vit est en train de se noyer dans les eaux turbulentes qui y coulent. La renaissance, depuis des eaux troubles, j’ignore maintenant ce qu’elle apportera ; quoi qu’il en soit, rien de pire, voyons.
Qui connaît les chats le sait : un chat, normal lui, ne se subjugue à maître ; là où il siège, il est le maître. Alors, je vais vous raconter l’historia de la fillette et le chat.
Maintenant les grelots musiquaient leur jouissance !
En méditant, plus ou moins profondément, plutôt que sur le créateur, sur ses créatures (croyants à chaque croyance, à eux en correspondant) j’ai déduit :
L’homme actuel, touché du barbarisme écologique, s’est fait un invétéré dans la matière, ce qui l’a mené à abandonner les vaches (supposément polluantes) à son sort, ainsi que certaines cultures considérées polluantes, elles aussi.
En étant chez moi, accompagné de la solitude, attendant la mort, assis sur une inconfortable chaise, je me suis allongé sur le lit pour faire confortable l’attente.
En étant l’Écho au bord de la mer, séjournant dans une plage solitaire ; les vagues, parfois fort prononcées, parfois presque inaperçues, lui parlaient (il disait) sur les extraterrestres.