samedi 28 février 2015

PARFOIS IL FAUT MÊME GASPILLER

    Tout cela qui ne se dépense pas est là ; c'est pour ça que le Cactus, amoureux depuis longtemps de la Ronce veut consommer son amour avec, pour l'en consumer : pour lâcher la bride à nouveaux jeux d'amour. 
 
    
     Le solitaire est un jeu dont il n'y a concurrent que ne soit le joueur lui-même, ce qui n'est pas absolument amusant.
 
    
    La question est que c'est difficile, pour ne pas dire impossible, faire brûler le bois trop mouillé. Voyons : le Cactus a autant peur de se piquer en s'approchant à la Ronce comme la Ronce au Cactus.
    … n'a pas soleil que sèche ce bois-là !

vendredi 27 février 2015

DANSER SUR LA PEAU DE L'OURS

   Un mélange de puces et poux ou quelque chose comme ça, en joyeuse mascarade, se sont mis à danser sur la peau de l'ours, celui-ci à qui autant la surprenante manière de faire le con, comme les chatouilles que le provoquait la danse de ces « in substantielle-là », le faisant mourir de rire.
 
    
 Les danseurs, n'en semblant pas d'être prêts à donner pour fini leur divertissement, font que le sien, qu'au debout était aussi celui de l'ours, devient au poilu quelque chose de gênant ; il se passe souvent qu'en chargeant trop la brouette, en plus de faire de la mal manier, parfois on le lui casse l'axe.
 
    
    Assez l'ours secoué puces et poux pour mettre fin à leur fête ; à cela que la joyeuse mascarade répond s'accrochant aux poils du plantigrade. Donc, comme si de rien n'était, il se baigne dans les eaux gelées, se plonge dans les plus profonds océans, monte sur les plus hautes montagnes. Tout cela en plus de pour s'amuser lui, pour taquiner les intrus ; après, il se gratte à tous ongles pour se débarrasser des inopportuns casse-pieds.

mercredi 25 février 2015

DEUX MANIÈRES DE REGARDER

    Une araignée penchée d'un fil est quelque chose si insignifiant à notre perception, qu'il suffit un léger frôlement de balai sur le coin où s'est établie l'arthropode pour faire effacer absolument celui-ci et son domaine tout entier avec.
 
    
     Je vous propose maintenant de vous allonger sur le lit, et, en fermant les yeux vous mettre à imaginer… mais non ! Vous ne pouvez pas auparavant boire du vin pour beaucoup que ça vous aide à imaginer, parce que l’élixir va vous encourager de façon que l'expérience n’arrivera jamais à son but, puisqu'il faut se décrocher de tout esprit combatif, imaginez-vous donc une araignée, soit-elle plus ou moins de votre envergure dans la place de celle-là qui est penchée chez-vous. Eh bien, elle ne serait pas trop penchée, mais penchée quand même. 
 
    
Le mis en scène imaginée en état, suivons-y : vous face à face le phénomène rien avez à faire avec un balai ; cependant, c'est l'instant juste de tirer de la bouteille de vin, de laquelle je vous ai fait écarter, et de faire pour faire de l'amitié avec l'araignée en croisant quelques pots.

mardi 24 février 2015

LE SABOT EN BOIS À CENDRILLON

    La jeune, belle, et délicate Cendrillon, morte sa mère, qui sinon aussi jeune que si ravissante et délicate, mort son père, celui-ci qui s'était remarié avec ce qui serait son fouet : à six mains ! compte tenu que sa belle-mère avait apporté en dot au mariage ses deux filles, il ne faudra pas deviner qu'à faute de plus mortes chez elle, la vie de Cendrillon fut complexe.
 

    Les deux belles-sœurs commandées par leur mère avaient soumis la jeune, mignonne, et délicate Cendrillon à leurs caprices, faisant à l'orpheline nettoyer par ici, nettoyer par là, nettoyer somme toute par tout, aussi comme faire tous les ménages, courses et d'autres tâches ménagères que les perfides inventaient, pour abaisser le plus l'esprit de la pauvre, belle et délicate Cendrillon.
 

    Pourtant, au fur et à mesure que le temps se passe chez la jeune, superbe, et délicate Cendrillon, de tant nettoyer et tout faire, au contraire qu'à ses bourreaux auxquelles le rien faire les avait fait devenir amorphes, à elle le travail, sans laisser d'être jeune et belle, l'avait fait moins délicate et plus forte ; donc un jour révoltée par un plombier syndicaliste, qui était venu à la maison réparer une panne, la jeune, ravissante, et forte Cendrillon prenant un sabot (elle manquait de fins souliers) et casse la tête à sa belle-mère et ses amorphes filles les chassant à la suite de chez elle.
    La forte Cendrillon n'épouse aucun délicat prince, ni gandin autre pareille, sinon le plombier… le pauvre !

lundi 23 février 2015

À PROPOS DE NOTRE PARCOURS

    Les humains, comme n'importe quel autre être vivant. Nous sommes conditionnés à nous passer la moitié de notre existence à nous préparer à vivre, ainsi comme l'autre moitié de celle-là à nous préparer à la mort.
 
    
    Il a été notre insolence, héritière de la plus funeste prépondérance, qui nous a fait de plus en plus, au fur et à mesure les temps sont coulés, vivre depuis l'aube de notre apprentissage tellement une machine qui ne se va jamais arrêter. Cette pensée qui nous va accompagner pendant toute notre vie, en nous empêchant sentir notre décrépitude, au temps de nous inciter à inventer dieu pour nous proroger dans l'infini, soit que l'on meure. Malgré cela personne, sauf quelques paranoïaques, veut s'en aller chez les dieux, s'y résistant à être graciés tel que possédés pour rester par ici.
 
   
    Et, comme à quelque chose malheur est bon, quelques mécréants érigés en prophètes se sont mis à vivre eux tel que se suppose feraient leurs dieux y correspondants, pour démontrer aux pernicieux athées qu'il existe.

vendredi 20 février 2015

AVONS NOUS PERDU LE SENS DE L'HUMOUR?

    En versant mes détritus liquides, voie urinaire, dans la tasse de toilettes, cet acte mécanique, indispensable (honteux, je ne sais pourquoi, vu que tout le monde se cache pour y faire et n'est pour ne pas éclabousser, ceci qu'on l'en ferait comprendre) auquel nous ne le donnons pas de l'importance par habituel ; mais cette fois m'a fait réfléchir de comme les temps ont changé.
 

    Que dirait un citoyen de la Rome Impériale (un Empire, en outre, comme il faut, pas une connerie telle que ceux-ci d'aujourd'hui) en voyant le gaspillage que l'on se fait dans les temps actuels de l’ammoniaque ; à ce qu'il faut ajouter le pas moins, gaspillage aussi, de l'eau en chassant la chaîne ; sans que la chose s'arrête là, puisqu'il faut en plus dépurer les eaux qui ont poussé l'évacuation des urines ?
 

    Les romains seraient fous, comme disait Obélix, mais pas manques de sens de l'humeur, ce qui est symptôme aggravant d'intelligence, parce qu'en tirant profit de l'ammoniaque des urines du peuple, celui-ci, qui n'était pas autre à nettoyer les immaculées tuniques de la classe dominante, avait trouvé une subtile manière de les appeler pisseurs leurs satrapes.

jeudi 19 février 2015

MON AMIE "LA KALACHNIKOV"

    Ce matin je me suis trouvé, depuis un temps sans la voir, une jeune vieille amie ; ce que, même en étant elle plus jeune que moi, par rapport à mon âge, face le monde, la met plus proche de la vieillesse que de la jeunesse ; cette amie, une espèce de Kalachnikov, qui sans presque faire les salutations de rigueur tire sans avertissement préalable.
 
     
     Tu sais, je viens de découvrir quelque chose, je n'aurais jamais imaginé penser y faire, elle respire, et voilà, alors elle vocalise, la masturbation, alors elle rafale : c'est aussi magnifique que je n'ai jamais pu penser ce que je ne sais pas comment je n'ai pas découvert ça auparavant ; c'est un complément idéel. Elle ouvre les yeux les envoyant aux cieux.
 
   
    Comme l'obnubilation est contagieuse, la Kalachnikov m'éveille d'une nouvelle rafale : qu'est-ce que tu penses ? Je ne sais pas comment est-ce que je te dirai ! Parce qu'aujourd'hui je ne saurai pas qui serait ma vie sans la masturbation et toi ? M’éveille-t-elle à nouveau à l’éclat d'un obus cette fois Ah moi ! Je ne sais pas non plus.

mardi 17 février 2015

L'OBSTINÉ ET LA PATIENTE

    La souris, pour que le chat ne la mangeât, s'était gardé de lui dans le premier trou qu'elle avait trouvé, lequel, inopinément, n'offrait sortie que celle-là qui faisait d'entrée. 
 

    Le susdit chat, qui voulait manger la susdite souris, en négligeant des choses autres à manger, entête en la petite belle, s'était-il mis aux aguets dans l'entrée, qui était la sortie de la palanque dont la souris s'était gardé, sans bouger de là, comme que s'il s'en aille de là, se l'en allât la vie… et se l'en alla.
 
   
    Le voilà, la souris à se cacher du chat, le chat absolument aux aguets de la souris, l'un l'autre sans manger, il n'a eu besoin trop de temps, parce que tous les deux aient péri de faim.
   
    ... bien est vrai que la souris avait raison (de poids, on pourrait dire) pour mourir si mince.

dimanche 15 février 2015

NOUS LES HUMAINS: DES BIZARRES VIVANTS

    Nous, les humains, sommes sans aucun doute des curieux animaux capables de nous passer toute une vie attendant de vivre sans avoir vécu la vie telle que chacun la souhaite.
 

   
Est-ce qu'il y a une autre vie que la désirée… ou la rêvée autrement dite ?
 

    La vie n'est que vie ; pourtant, ce que l'on entend communément « rêve devenu réalité » n'est qu'un exercice de « pouvoir-soumission » dont qui a son rêve accompli,
il est, habituellement, du côté du pouvoir.

vendredi 13 février 2015

DIALOGUE AVEC LA NUIT

    Le dialogue que l'on tient avec la nuit n'est que le large plaisir (dommage qu'il ne soit aussi long) d'un tutoiement limpide, franc.
 
    
    Par contre, cela qui dans le jour durant n'est qu'un brouhaha trouble, artificieux, d'un intransigeant vouvoyer du bas en haut.
 
    
     Il ne sera que pendant la nuit, Morphée, contre toute pensée scolastique, s'éveille, pour s'emparer desquels s'emparent de la politique.

mercredi 11 février 2015

DANS LES NUAGES ET SUR TERRE

    Dans l'âge du mensonge dont nous sommes, un chien s'est dévoué tout faire à faire croire aux rats que le tigre n'est qu'un faible chat (en cela qu'il a eu fort succès, il faut le reconnaître) en vue d'encourager à ceux-là qui l'attachent le grelot.
 
    
     Les rats, gonflés de la force que le chient les fait croire qu'ils avaient, ouvrant tellement n'importe qui, auquel la faute d'intelligence le fait amant de victoires retentissantes, dont il n'y est pas difficile de l'aiguiller.
 

    Quand l'heure y est arrivée, le rougir du tigre fit tintinnabuler les tympans desquels avaient oreilles, donc l'un parmi des aiguillés, demande au chien —Pourquoi pas, toi, qui es plus fort et grand que le chat, ne mets-toi le grelot ?

LE CONTE DE LA CRUCHE À EAU MIS À JOUR

    Dans un voisinage auquel la nonchalance l'avait conduit à se laisser manier par les moins intelligents y parmi, dont deux entre ceux-ci qui l'en étaient moins, cela qui faisait possible l'impossible, en cherchant notoriété ils se furent chargés de mener la cruche à la source.
 

    Comme la faute d'intelligence condamne aux souffrants de faire des choses simples, choses complexes ; il sera parce que celles-ci pour ceux-là n'existent pas, ils allaient à la source
jouant avec la cruche, où ils buvaient, et à l’avenir, pour suivre le jeu à leur aise, la portaient vide, puisqu'elle était ainsi plus légère.
 

    La cruche de tant aller, si fort gratuitement, à l'eau, un jour s'est cassé. La question, c'est que de tant aller et venir, les deux stupides tenaient sa soif désaltérée. Pourtant, autant le voisinage, qui s'était laissé faire, comme leur claque, y compris leurs égaux, se sont restés sans boire.

mardi 10 février 2015

FAUTE DE CONFIANCE EN DIEU

    Peu confiance faisons les mortels sur dieu, en reniant notre condition ; voyons sinon les grecs, par exemple, possesseurs auparavant d'un gracié status, dont les moins y parmi ils avaient assistance médicale, jusqu'à présent ; est-ce personne veut s'en aller chez l'impitoyable ? 
     
    … manque de foi !
 
    
     Que les riches, à plus qu'ils l'en soient, meilleur de celle-là ils auront ? Est-ce personne désire comprendre que quelques-uns parmi tous nous doivent se sacrifier en restant, plus longtemps, pieusement, dans ce malveillant monde ?
 
    
    Vous, qui après avoir servi dieu, en servant les hommes qui se vont sacrifier en restant sur terre, pour vous ; qu'est-ce que vous désirez ? y rester vous aussi ? Égoïstes ! Est-ce que vous voulez faire plus encombrante déjà la vie sur terre de ces martyrs ?
   
    … On vit dans un monde d'ingrats, d'athées, d'anarchistes, somme toute, de grecs.

samedi 7 février 2015

UN POURPARLER DE TAVERNE

   Depuis le but, qui s'ouvre à l'espace bar, du comptoir ; saisi à un verre j'ai écouté un impertinent demander Eustache-Philibert, qui se tenait lui par quelques trames de la barrière : pourquoi tu n'as jamais façonné une famille ?
 

    Eustache-Philibert demande à son tour, sèchement, ce type-là, lequel devrait s'appeler Jean-Pierre, ou quelque chose comme ça : pourquoi y faire ?
    Les épées sont mises en garde — Pour faire monde. Il répond inquisitoirement l'impertinent en apportant des fils, souligne-t-il après pour faire remarquer.
 

    
Soit, que moi « Eustache-Philibert » qui n'a été jamais carnivore, je dois faire don de ma nourriture à engraisser des porcs parce que autres les mangent ?

vendredi 6 février 2015

UNE ÉTOUFFANTE PALANQUE

    Il était une fois un petit chaton, dont sa mère qui après d'avoir les denrées assurées chez le patron à qui se devait, à change de se frôler dans ses mollets, elle avait perdu, autant de faire comme de faire apprendre son fils, les trucs de la chasse.
 
    
    Chez ses frôleurs, il n'y avait plus petits que le petit chat, une petite souris, plus petite que lui, évidemment, pas bizarre donc que les petits firent une fort amitié malgré la disproportion de leurs petitesses, et à cause, bien entendu, de ne pas vivre celui-là, qui devait devenir futur chasseur, du métier auquel il devrait se dévouer.
 

    Un jour la chatte voulant procurer un autre chaton, laisse auquel qu'elle a déjà aux bons soins de la mère de son ami ainsi qu'avec. Il était l'hiver, ainsi les deux amis se réfugient chez l’amphitryon, le temps passe y durant les deux copains ne font, sans sortir de leur palanque, que rigoler, bien manger et dormir. Le jour que la chatte y arrive, commission faite, se trouve que son petit, qui l'était moins, ne peut pas sortir chez les souris, à la chatte ne l'est resté autre que le donner de manger, à tous les trois embouteillés, par le trou de la niche, le temps a fait le reste : le chaton en arrivant à gros chat s'est étouffé, il étouffe la mère souris et étouffé aussi la petite souris… quelle ingrate manière de se défaire des souris.

jeudi 5 février 2015

UN STUPIDE COCKTAIL

    Il fait de la peine que soit le temps, d'abord montrant la perte de tout l'acquis pour après à nouveau poursuivant attendre tout le perdu, qui nous fasse apprendre la nullité des politiciens lesquels nous-mêmes avons élu.
 
    
    De ces mercenaires-ci, en ajoutant les mercenaires des médias, des faux-technocrates, eux aussi, aussi que les majorités sans critère ; beau cocktail la spéculation a fait avec : ce de la stupidité ! 
 
    
    Penser que l’humanité, toute entière, se tienne, de ses partenaires, pour les plus sages êtres vivants sur terre, quand seulement une petite minorité souffre consciente les maux qu'en autre elle a vu venir.

mercredi 4 février 2015

POURQUOI SE LAISSER MANIER PAR PERSONNE

    Se plaignaient les poules que le renard, auquel elles avaient choisi pour les gouverner, mangeait plus de poules que d'œufs elles étaient capables de pondre ; cela que menaçait leur existence.
 
   
    Une vieille poule, qui ne servait déjà qu'à faire du bouillon avait survécu parce que le renard ne savait pas cuisiner, dit aux pondeuses : vous vous plaignez de qui toutes vous l'aviez élu ; est-ce que ne saviez-vous qui était lui ? — Est-ce qu'il avait d'autres options, répond une y parmi, qu'entre le charme du renard et les pourparlers du coq, lesquels n'étaient pas loin de notre pensé… ce vaniteux qui ne sert qu'à forniquer ! 
 

    Eh bien, la vieille poule poursuit, le forniqueur est des nôtres qui en autre continue à nous forniquer. Alors, en étant tous nous « UN » poulailler, quel besoin avons d'« UN » individu à nous gouverner ? 

mardi 3 février 2015

LES AILES OU LA BARQUE ?

   La léthargie insufflée par la pluie anime à la réflexion du même que le vin l'en fait à la légèreté ; et comme il pleut, je me suis mis y faire sur un sujet que j'ai depuis longtemps dans la tête ; le voilà.
 
    
    Quelque chose qui toujours m'a touché des croyants, c'est qu'en tenant comme but leurs vies, ce de s'en aller chez dieu, quand ils se voient, dans la salle d'attente d'entre ici et là, près de réussir. Ces dévots du divin s’accrochent à cette, misérable, démoniaque, pécheresse, indésirable, vie, tel que s'ils soient possédés.
 
    
    Sera-t-il que ces pieuses personnes, ne l'en fussent jamais ; d'où, elles ne sont pas sûres du tout de si on les va mettre des ailes, pour faire l'attendu voyage, ou les faire prendre place dans la barque de Caron.

lundi 2 février 2015

UNE FOIS UNE FÉE M'A DIT

    Chemin faisant chez-moi, un jour de petit matin, j'ai dû faire, pour ne pas faire une infraction, un stop, dont j'ai entendu devait de boire le dernier. Je ne savais pas, si l’établissement était en train d'ouvrir ou fermer, là, il n'y avait qu'une fée marraine qui m'a raconté ceci que moi, à la suite, je vais vous raconter.
 

  
Un berger, qui voulait tout pour lui, avait fait surveiller les moutons par plus de chiens que loups les maraudaient ; chiens que le berger nourrissait des restes des moutons qu'il disposait à soi. Les loups, en voyant décroître leur population à défaut de nourriture à eux, ont décidé de changer leurs habitudes alimentaires, s'en faisant les végétariens ; ce qui les a fait proliférer pareillement aux moutons, lesquels au ne pas avoir prédateurs autres que le cupide berger, qui aimait autant y en profiter de ce que voir croître son troupeau. nouvelle habitude celle-là qui a fait proliférer les loups, qui pas uniquement ont perdu la force, sinon qu'elle s'est multipliée en proportion au nombre : comme pour se laisser perdre le terrain pris ! Ce qui a fait, à
manque de nourriture, le troupeau amoindrir ; une chose qui ne se passe chez la meute de chiens, lesquels à défaut des restes de leurs surveillés, ils se sont résignés à les manger tous.
 

  
Quand j'ai redémarré pour poursuivre ma route, en laissant arrière le stop, dans ma tête les vapeurs que la nuit avait fermenté en moi cuisinaient le conte que la fée marraine venait de me raconter…
   
    … qu'est-ce qu'elle, je me suis demandé moi-même tout seul, m'aura voulu dire ?