Les
gens, dans les villes, semblent marcher à la débandade sans que
chaque personne y parmi le sache, ni des autres, ni de soi-même, et si on
l'en fait pour atteindre quelque chose ou pour de quelque chose s'échappe de dedans la ruche on ne peut pas voir l'horizon.
Ces
citoyens, qui depuis longtemps d'y faire, même en sortant des
villes, ils ne verront pas non plus l'horizon, puisque leur
attachement à celle-là les fera marcher s'en éloignant, leurs
têtes tournées vers elles pour n'en pas pouvoir leurs yeux les quitter.
Il
ne doit pas être si mauvaise du tout la vie villageoise, tel qu'ils
nous la peignent, lesquels qui habitent là, sur l'horizon, sans
pouvoir quitter, non plus, leurs yeux des villes desquelles ils disent
avoir renié.
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