La vie est une éclosion douloureuse et traumatisant, déguisée pendant ses commencements de joie inconsciente, qui va muter, de son caractère égoïste, inhérente à la vie-même, à la générosité de se dévouer à l'engendrement d'autres formes de vie à elle semblables ; jusqu'à il y en arrive au zénith de sa croissance, où fertilisation faite, est preste pour s'en aller doucement par la route du repos, par où, au fur et à mesure que le temps passe, plus consciemment, elle poussera sur terre pour fertiliser cette fois : la vie tout entière.
Malheureux, auxquels la richesse a empêché de se préparer au transit qui inexorablement les en va emporter. Comme à la douleur de ne pas vouloir partir s'y va rejoindre l'effroyable misère de la spoliation, de tout ce qu'ils sont devenus « habitants de leurs tombes » d'où leurs successeurs tireront des richesses qu'y ait en tant qui éparpilleront, par-ci par-là, leurs dépouilles auxquelles l’embaument subi les empêchera s’intégrer à la vie.
Il ne faut pas trop dramatiser, il y a des dépouilles profitables