Chaque
fois que je me trouve avec le chat de ma voisine, il me regarde d'un
air si circonspect, qui me fait sentir moi quelque chose d'amorphe,
seulement comparable à la basse pression atmosphérique, qui
façonne, qui fixe là, l’anticyclone des Açores parfois jusqu'à
l'ennui le plus absolu pour lesquels sommes à leur influence
soumis.
La
nuit, le gênant chat noir promène par tout son regard
insolent, disparaissant lui soudainement à son caprice ; je n'ai
jamais su si s'en allant ou fermant les yeux. Le jour, il est
tellement une ombre, laquelle agit, ne respectant pas les lois de la
physique, dépassant la vitesse de la lumière.
Soit
la nuit, soit le jour, le chat de ma voisine laisse toujours
empreinte de ses apparitions, dont il se montre fier de ressentir
pitié de moi ; pourtant, pour beaucoup que je fasse pour le faire
savoir que c'est lui, qui me fait de la peine à moi, je n'ai trouvé
jamais la manière d'en faire savoir à enquiquineur chat, qui
tellement il fut une chatte, il veut toujours sortir vainqueur.
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