samedi 15 juin 2013

MAÎTRE DRAGUEUR

   Faisant moi avec quelques potes pérégrination d'un bar à un autre, pas pour faire, bien entendu, aucun jubilé, sinon pour être jubilés, nous étions arrivés dans l'un, où un spectacle se déroulait dont le maître était propriétaire d'une stridente voix. Tous lesquels qu'y étaient disposés ou non à lui prêter l'oreille ; dû au perçant de sa voix il ne nous restait d'autre que de l'écouter.
 
   
     L'orateur, maître aussi dragueur, puisque c'est à ce sujet qu'il dissertait, expliquait sur cela du pourquoi à une femme plus que de la conditionner à se faire prendre, il faut faire qu'elle se prend de vous, et puis de dire ça l'expert, il profite pour faire une pause, durant, tous nous vidons le verre à chacun y correspondant, pour les faire devenir d'utilité à nouveau, à tel effet utilisant les bouches d'égout. D'abord, il fallait, poursuive le maître, ce d'avoir un sacré culot, après, il conseille d'approcher ce de que l'on avait fait d'égout, inversant ses fonctions pour jeter de lui, dans l'oreille de la pièce choisie, faisant de sa réceptrice de sons, autant que l'on vient de faire de la cracheuse du dragueur, sur laquelle verser gastronomique discours, dont le dragueur-élève revendiquera à la pièce de son choix qu'il lui va tout manger, tellement qu'elle fût un porc, duquel on se dit, tout dès la gueule à la queue est profitable. 
 
    
    À cette hauteur du discours, la porte de l'enceinte s'ouvre, et par là-bas entre un enfant qui, timidement s'approchant de l'orateur, il lui tire de l'une des manches de sa veste. Le maître contrarié regarde d'un air agacé l'enfant, jusqu'au cyclone qui se laisse entrevoir par l’entrebâiller de la porte, qui lui fait perdre la couleur. Le maître dragueur part tout de suite, sans même attendre aux applaudissements ; quelque chose à lui pareille se laisse écouter dehors, une fois qu'il était sorti.

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