Il y a été bien sûr, à force d'être aux dictées de ceux-là qui n'étaient que vassaux de « l'empire de la peur », lesquels, pour faire confondre l'entendement parmi les gens. Qui s'en faisant passer dès toujours par sages maîtres de toute connaissance, sont allés jour à jour pervertissant le sens des choses ; des mots, par exemple, tels que la folie ou la stupidité. Voyons :
La
folie est quelque chose terrestre, si bien que pervertie parfois à
cause de l’aliénation provoquée par ces vassaux-là. Mais, dont il
se fait patent, en effets occasionnellement déplorables, causés par la
susdite perversion, l'imagination, la créativité, l'évolution ;
soit la Liberté. En définitive la folie est la force.
La
stupidité, toutefois, appartient aux cieux. Entendus ceux-ci comme
paradis divin. Cette stupidité, d'obscurs intérêts nous ont prétendu faire croire,
qu'elle est prise en héritage congénital, ce qui, entre autres nous fait placer aux humains au-dessous de toute espèce vivante, soit animal ou végétal, même quand elle n'est que servi, pour être forcée à l'avaler par les
mêmes vassaux. Abrutis de tant y faire dans « l'empire de la peur ». La stupidité est amorphe, servile ; elle vit dans le conservatisme d'une léthargie
incommensurable, ce qui fait ériger aux touches de fiers adeptes, de personne sait
quoi. La stupidité, pour l'en faire, elle aussi, une définitive,
n'est que la faiblesse.
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