Depuis de la société, la nôtre, s'est allé constituant en cites-état, il se pourrait faire exceptions, et à moments donnés durant ; pour nommer l'une : la République Grecque, dont, le monde qu'y vivait, aussi comme tous les autres peuples, qui étaient à ces centres de pouvoir soumis, ont vécu tellement tous nous vivons aujourd'hui : sous l’empire de la peur. La peur la plus difficile à combattre : la peur médiatisée par le clergé, quoi qu'il en soit.
La
peur de dire ou de ne pas dire.
La
peur de faire ou de ne rien faire.
Peur
même à penser, soit que l'on pense en haute voix sans le vouloir.
Peur ou germent, pour ses créanciers, dissimuler la combattre, soit que l'en fassent les débiteurs-redresseurs de torts, curés bons et bons serviteurs… ? Ce n'est pas pourquoi tout juste, me heurte en toute la face l'air réconfortant qui traîne ces mots d'Emiliano Zapata: « Il vaut mieux mourir débout que vivre toute une vie à genoux… » Un poète ! Un révolutionnaire ! Celui-là qui comme tout le monde. Il est mort, il a vécu, et pas comme tout le monde ; dans ses mots, Emiliano Zapata est vivant encore.
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