Écouter
les politiciens d'aujourd'hui est si soporifique, dégoûtant parfois
des manières qu'ils emploient pour insulter l'intelligence de qui
les donne de manger, ce qui les fait maîtres du plus vulgaire
mépris, duquel tout semble pour si cela ne fût assez, ils se
sentent fiers, tellement qu'indifférents aux votants compulsifs, qui
votent autant pour habitude de l'en faire, comme
choisir candidats, souvent par revanchisme, ce qui les
fait trébucher jour le jour contre la même pierre, même en sachant
ce qu'elle est, soit-elle peinte en différentes couleurs.
Tout
cela m'a fait moi, en pensant que les choses n'ont pas pu être comme
dans tous les temps durant, lire quelques discours de prédécesseurs
de ces maîtres du mépris, dont il y a longtemps les uns les autres
ont perdu lien. Il ne m'a pas fallu en aller trop loin dans le temps
pour savourer les interventions dont les anciens politiciens faisaient
beau jusque dans l'arrogance. Je ne vais pas juger, ce n'est pas la
question-ci, s'ils étaient plus ou moins efficaces concernant l’administration (qui ne soit la sienne) si bien que
moins que les nôtres actuels est impensable ; mais, en par rapport à la classe, ces plantes grimpantes n'ont rien à voir avec celles-là
de l'ancien jardin potager.
Bref : l'humeur est telle qu'une plante (j'ai un jour en veine jardinière) qui a besoin d'une terre bien cultivée, semée en son adéquat ambiant, en sa juste mesure arrosée ; une terre dont les mauvaises herbes étaient enlevées, et les plantes étrangères qui à cet ambiant étaient incapables de prendre… je ne sais pas pourquoi les parlements d'aujourd'hui me ressemblent la selve… ?
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