Le monde tout entier, effrayé de ses propres fantômes imaginés, s'était mis dans l'obscur pour se garder tous ensemble, en égales, de la peur. Là où les nains s'étaient débrouillés parmi pour se rassembler faisant part, mais sans leur laisser de profiter de l'ensemble pour se défendre de la peur, bien que sans perdre leur condition de ce qu'ils avaient eu auparavant de la débandade : les obscurs patrons du tout.
Le
silence y était absolu, exception faite de quelques chuchotements,
presque imperceptibles, provenant de la bande des nains… quand soudain ! à son derrière, quelqu'un qui rentrant en retard, parce
qu'il venait mesurant les pas, doucement, pour s'éveiller de la veille longuement fêtée, il
avait ouvert à l'extérieur tout grand pour transmettre son
titubant équilibre, invitant, inconsciemment, la lumière se
projeter sur les nains qui lui donnaient leurs dos, ce qui les a
soudainement fait devenir de leurs ombres, en géants. Le reste du
monde, en croyant de ceux-ci redoutables fantômes, se rendit tout de suite à eux, ce qui encourage les nains à se croître, et à tel effet ils ont pris
cause de se faire à nouveau patrons de l'empire, cette fois, de la
peur (comme s'il aurait d'autre) jusqu'au grand ouvert s'est
fermé de nouveau, et à nouveau l'obscur les fit tous égaux.
L'inquiet
fêtard, incommode dans l’obscur, propose à tous lesquels qui
veuillent le suivre, de reprendre la fête qu'il avait délaissée, donc,
tous y vont, laissant les nains dans l'obscur, pas sans auparavant
assurer sa fermeture aux nains d'esprit, de cœur, de cerveau,
les laissant si bien la grandeur de son illimité népotisme.
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