En nous rendant à quelques amis, dont j'ai eu que faire de cicérone, à Compostelle « Champ d'Étoiles » rebaptisée par l'empire chrétien (sous peine de bûcher, comme c'était l'habitude, qui ne reconnaissent pas la nouvelle appellation) St. Jacques de Compostelle. Compostelle était trop beau nom pour le délaisser, en outre ces gens-là étaient aussi trop attachés à lui ; le St. Jacques fut en honneur à l'un de ses guerriers.
Cette
plus que belle ville au pavé mouillé, qui ce jour-là s'est rendue
elle, au soleil, peut-être pour nous inviter à rester, en laissant de pleurer. Tel jour ensoleillé que
nous avions pu observer, en nous allant progressivement éveillant de la
veille par les étroites rues, pleines de bars ; leurs étroitesses qui donnent une certaine sensation de sécurité, cas de perdre
l'équilibre.
La
question est que, comme la ville au pavé mouillé, ce jour-là s'est
rendu au soleil, quelque oisif irresponsable parmi nous, a proposé au
reste des combattants, de faire une pause… nous tous qui étions
dans la noble lutte de faire des toasts à tout lequel qui n'avait pas la
fortune d'être avec nous !
Personne
y parmi nous ne saura jamais comme est-ce que nous tous sommes allés,
risquant de perdre l'équilibre, sur la « Praza do Obradoiro » où
l’ambiant n'invite qu'à prêter les yeux au ciel, ce que l'on
faisait quant à ce moment-là, une volée de pigeons assombrit la
grandeur de l'empire, pour montrer la beauté de la nature, donc l'un
y parmi, d'aussi bonne adresse qui chie sur l’instigateur de la trêve ; tout de suite, la camaraderie lui propose d'en aller à un bar prochain se nettoyer.
c'est très efficace votre point de vue à se tenir debout
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