Le Système capitaliste, bizarre conception, dont il s'agit de prendre
le pouvoir à partir de l'accumulation de la richesse produite par le
groupe social, productif bien entendu, est plus vieux de ce qu'il se prétend ; personne, et moins ceux-là qui le détiennent, n'ont rien
inventé qui ne soit pas ce de permettre ce Système-là.
On peut bien se dire que le mécanisme du susdit Système n'a de trace aucune d'humanisme, ni d'animalisme bien sûr, ni même de végétalisme qui ne soit que pour faire de la comédie ; le Système n'aime rien, ni à ses prétendus patrons, ni ses souteneurs, on pourrait dire sans peur à se tromper qu'il ne s'aime ni soi-même ; il est comme ça, un mécanisme qui marche tandis qu'il marche, prenant de l’énergie des humains, dopant les uns de vices qui dénigrent l'humanité tout entière, dont le gros de ses gens servent pour chauffer ses chaudières ; de ce groupe-ci dont il profite parfois même ses révoltes pour prendre élan. De ces révoltes dont j'ai pris, pas au hasard, déjà que je raconte toute cette histoire pour y arriver, à ce qui s'est donné à appeler « la Libération féminine ».
Depuis que les religions, surtout celles-là d'importation, en cela qu'à nous nous concerne, ont soumis la femme, plus qu'à l'homme au mâle (ceci qu'il serait pour nous dénigrer par égal aux uns qu'aux autres) la chose fut en allant, il faut le dire de déplorable manière, jusqu'à hommes et femmes sortis de l'ensemble du gros victimaire du Système, ont décidé que la moité de l'humanité n'est que la moitié de l'humanité… d'où, mieux que s'affronter à la raison les mécaniciens du Système ont profité, puis d'engager quelques détachées révoltes, aussi que le la structure couple-famille émanée de la religion, pour pourvoir le Système de double main d’œuvre à moitié de pris.
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