La
machine État fait de nous ce que nous sommes ; résultant : auxquels les circonstances aient été aussi généreuses en les pourvoyant de moyens, comme radine en le concernant aux scrupules, ce qui me fait penser si est là où réside la vraie nature de notre essence, car si bien sont-ils, surtout des engendres sortis de la vie facile et vilaine, qui vont gouverner ; voire, manier les rênes de l'État le conduisant à leurs profits, utilisant pour bâtir le pavé de leur route les têtes d'un peuple, qui en autre ne souhaite que d'être comme ceux-là, le montrant quand non avec dévouement vers les satrapes, les faisant « élus » « démocratiquement » de cette manière affaiblissant plus le prestige de la déjà blessée de mort, démocratie. Ses satrapes, en plus n'étant absolument pas contents de l'être, fabriquent de fausses nouvelles élections pour s'incruster « démocratiquement » dans le pouvoir.
Pour couronner le tout, la compétence judiciaire, soit le pilier de
l'État, faible pouvoir qui exerce de la douce autorité sur les
délinquants concurrents aux patrons de celui-ci, de l'aigre-douce
aux pervers dépravés, ceux-là qui difficilement gênent aux
patrons, aussi que de l'aigre justice sur les délinquants de
nécessité, lesquels peuvent voler plus qu'un morceau de
pain, se faire quelque insolence pour vouloir Être.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire