Merkel apporte son soutien à Rajoy, accusé de corruption
Le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, « pris» dans un scandale de corruption, a reçu lundi 4 février à Berlin le soutien de la chancelière allemande, Angela Merkel, pour sa gestion de la crise économique.
Sinon tous, presque, les médias ; ces communistes rouges et anticléricales… anarchistes ! j'en dirais davantage, ils se font écho de la nouvelle, dont elle « Madame J'ordonne » s'est prêt tout de suite, délaissée toute seule par tous, soigner du carnage, que ceux-là ont fait à son lâche bottes préféré, déférence que la magnifique sur son chéri Âpre au Gain auquel « la populace espagnole » veut abandonner sous les griffes de la polluante Justice.
Comme
antan leurs ancêtres politiques, le nouveau couple hispano-allemand
se sont embrasés (pas sur la bouche, en vertu ce que la chasteté les
défère) pour les faire revivre une vieille histoire d'amour,
dommage que ne puisse pas y être le défenestré maître de
cérémonie italien pour faire ainsi revivre avec le triumvirat.
Pourtant,
quelque chose fait petit, cette renouvelée histoire d'amour, dont les respectifs anciens partenaires n'étaient si misérables (pour
le dire de quelques manières) que les nouveaux, ceux-là à qui ne
conformait l'argent qu'on puisse mettre sous une enveloppe, ils
voulaient se faire, chaque propriétaire de son pays, si bien est
juste reconnaissance que le compatriote de madame a prétendu ; en plus, celle des pays voisins, toujours il y a quelque chose qu'y
reste.
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