Il
était un pays dont il y avait beaucoup de petites et douces, même
gentilles, montagnes. Ce qui était quelque chose d'indispensable à l’évènement, qu'il y avait longtemps s'est
passé par là, se soit passé tellement qu'il s'est passé.
Tout a commencé le jour dont une montagne qui s'est mise à grimper sur
une autre, en arrivant au-dessus, étouffée la grimpeuse reste là
pour prendre repos ; mais, prise de la hauteur elle reste par toujours,
façonnant entre tous les deux une montagne, plus grande que toutes
les autres ; donc, une autre petite montagne grimpe sur la grande montagne, l'agrandissant plus ; une autre des petites montagnes grimpe, elle aussi, sur la grande montagne, et successivement les petites
montagnes qu'y en restent vont grimpant, faisant devenir le pays en
une absolue « grimperie ».
Quand
la susdite « grimperie » s'est arrêté (il n'y avait plus montagnes qui
grimpassent) le pays dont il y avait beaucoup de petites, douces et
même gentilles montagnes, seulement conserve maintenant une seule
montagne, il faut reconnaître qu'une grosse montagne, celle-ci dont
le sommet est toujours gelé, baissant de là-haut elle est agreste
et même en baissant à ses pieds avec lesquels commence la plaine, qu'est-ce
qui est devenu le reste du pays, par toute végétation. On ne trouve
que broussaille, car la disparition des montagnes a entraîné ainsi
du même aux vallées et vals, façonnant celles-là, qui ont fait
d'abord possible la grande montagne, cette fois un désert à ses pieds… cependant dans le pays, antan de petites douces et même
gentilles montagnes, outre, il ne reste personne qui puisse être fier
d'avoir une si haute montagne.
La montagne est mon point de repère: être invulnérable, tout le monde dire ce qu'ils veulent, je continue de marcher imparable ...
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