Aux femmes je les vois comme les nuages, il y a les qu'y sont tels que les
cumulonimbus, belles, magnifiques même, mais il faut prendre garde
de ne pas s'approcher trop, parce qu'elles t'attireront dans leur cour pour te phagocyter, et donc elles te détruiront ; d'autres nuages,
obscurs, qui s’allongent par tout, qui autant que les belles font tout pour ne pas laisser voir qu'elles-mêmes ; allure pareille
ont à ceux-là, ont les impénitentes arroseurs de tout qui se
trouve à leur dessous, les voilà les Madeleines, lesquelles n'ont
rien à voir avec les irritables jumelles concernant aux
nuages, bien ceux-ci orageux. Il y a des nuages, qui comme quelques
femmes disparaîtront sans se laisser connaître, par là loin,
rougis à cause de leur pudeur, en faisant jusqu'à rougir le Ra ;
des blancs, et timidement gris, voluptueux, dont les femmes laissent entrevoir l'espoir à quelque de leurs possibles
victimes, de l'espoir, avec qui coquettent, de la façon que les
nuages jouent avec la lumière, sans laisser se percer par
elles, ce qui parfois elles font, s’entrouvrant pour que les rayons du
soleil, frappent dans les yeux des badauds.
Que dire de celles-là, qui telles qu'un petit nuage, dont au monde
habitué n'observer en elles que la grandeur, passent-elles
inaperçues. Moi, qui j'aime bien les petites femmes à petits talons, petites mains… tout
petit dans les petites, dont comme d'habitude, dans toute petitesse,
tout est bien placé, bien ordonné, pour que rien déborde, pour que
seulement le juste y soit à ne pas faire plus grand qu'il faut sa
petitesse.
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