Dans beaucoup de
maisons dont on partage voisinage, à l'un et à l'autre côté,
au-dessous, au-dessus, qui y est entre, il y a des puits de lumière,
si étroits qui ne sont que soupiraux, auxquels s'ouvrent, pour l'en
dissimuler, les étroites fenêtres assorties, des toilettes.
Profitez-en mesdames messieurs du spectacle, musicale, parce que visuel n'est que pénombre, effrayée, celle-ci parfois de coups de lumière, lesquels deviennent immédiatement après d'un clic.
Prêtez donc attention une fois que vous étiez commodément assis dans la tasse, que le spectacle commencera immédiatement, en finissant tout juste ensuite d'avoir déposé les restes de tout cela que vous aviez dégoûtés auparavant avec plaisir. Au silence des timides, sourds bruits de cet abandon le suivent le pas moins sourd, mais plus profonds envahissent la salle ornée d'azulejos en tirant de la chasse, mais la chose commence vraiment en ouvrant la fenêtre pour libérer les effluves : à un autre son sorti d'un voisin qui a fait autant du même, cependant auquel le tube fera plus aigu, se heurte, perçant les effluves que vous a gracieusement aviez offert à tout le voisinage de vous au-dessus, pour qu'il, à vous, vous gracie du son. C'est ainsi une voisine, tout semble, car le son est plus profond que si elle était un il, de bon viser, qui change le ton, pour alterner à celui-ci les douces glu-glus d'un prostatique, rythmés pour les donner du caractère d'un autre qui se lave les mains, et quand dans la douche quelqu'un planait le concert, autre entre en scène, puisqu'il s'y trouve avec sa femme, on suppose ? profite d'un spontané « ici, je t'ai attrapé » la soprano chante à la gloire… il fait le bas…
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