Les dieux de la misère, et si je les nomme dieux, c’est parce qu'ils s'en croient (le rang de dieux n'a jamais été si bas) n'en trouvant animaux qu'eussent de la classe que se prêtassent à eux s’incarner pour mettre aux abois au renard, ils s'en sont ces éminences servies, parmi leurs thuriféraires, des poules.
S'en voyant le renard traqué par quelques bipèdes plumés sans importance, il théâtralise quelques grimaces d'être effrayé, ce qui au le voir les autres poules, encouragés, auxquelles se les rejoindre un coq, qui n'a pas voulu être moins, pour tous prendre part à la fête, laquelle n'a fait que remplir le garde-manger de l’audacieux goupil.
Ces dieux-là, misérables, habitants de la misère, comme y correspond, terrain stérile à l'intelligence. Ces dieux aux œillères mises pour ne pas voir que l’entassement, jamais à eux assez, du papier imprimé dans leurs usines, ne soit que par leurs côtes leur entre quelconque rayon incontrôlé de celle-là.
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