L'amour,
comme la grippe, se passe avec le temps durant, parcours dont il s'en
va estompant dans le contagionné jusqu'à finir pour s'effacer, sans
même l’apercevoir l'esprit qu'y a été touché. Alors que, et
compte tenu qu'il peut causer un si lourd mal mener comme longue
récupération, il convient de s'en être vacciné de temps en
temps, se soignant toujours de l'en faire, avant d'être pris des
symptômes de la maladie, dont leurs germes se renouvellent
constamment pour attaquer aux victimes qu'ils trouvent propices.
Pourtant,
la faim, soit, ou ne soit pas, un plaisir au touché d'elle la
combattre (pour beaucoup de ceux-là par celle-ci touchés, être leurs otages est plus qu'un plaisir) il est bon de la satisfaire, en autre, elle autant y vient que s'en va ; elle est quelque chose
aussi de congénital en nous, que le grave deviendra quand elle ne
reparaîtra plus sur nous.
Autre chose est la soif, ce que vous voulez qu'à propos celle-ci, je vous le dis qu'il ne se doive jamais arriver à un tel degré de souffrance ; il faut être constamment, pour tous les moyens, bon ! pas pour tous absolument : l'excès de l'eau peut provoquer dégâts irréparables dans l'organisme, pour ne rien dire de ces breuvages gazés et colorés artificiellement, qui ne sont que placebos malsains. Le vin, aussi que toute sorte d'autres élixirs feront-ils, personne l'en doute, en plus de se désaltérer, du bien au corps et surtout à l'esprit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire