Depuis que l'homme a commencé faire des âneries (depuis bien sûr de nous avoir cru les protagonistes de l'univers) on s'est baptisé « ânes » à ceux qui aujourd'hui par cette appellation nous connaissons, pour nous dissimuler nous de l’adjectivation du nom.
Pourtant,
si bien nous nous appelons péjorativement ânes entre nous, surtout
de la part des femmes aux hommes, en tant que nous à elles, ou entre elles-mêmes, rarement on se les appelle ânesses, même que de tous
soit su, que le fait de faire des âneries l'homme n'est que sous
leur complaisance, nous faisant les perverses croire qu'il est un
fort appâte jamais conçu, ni même dans notre maltraité cerveau,
comme ridicule, dont elles tombent, dans notre incessante chasse à
elles.
Donc, si bien que toute cette espèce de dérivée logarithmique ne fait que remporter l’ânerie à nous les hommes, soignez-vous qui ne serions pas seuls, puisque si nous sommes des ânes, « elles » ne laissent pas d'être des ânesses. Eh voilà ! Tous contents, j'espère ?
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