En étant moi, confondu parmi une joyeuse bande de paroissiens, assis les uns, se tenant en pied les autres, dans un bar, évidemment, écoutant tous, les élucubrations qu'un brave monologuiste, savant lui, qui n'était aussi dépourvu de l'allure pour faire figurer sa sagesse en scène, sinon qu'il était de soi, inondé de lumière ; ce vénérable qui depuis nous avoir montré son jardin débordant de fleurs, en prenant une au hasard, il nous la présenta telle qu'il suit :
Les dieux de la guerre, ils ne l'y sont absolument pas. Ainsi, ils aiment se battre gratuitement, ni loin de là l'en faire, comme mercenaires ; cela qui les a fait être acquéreurs de ce titre, n'a été qu'à cause de l'amour professé, dont de sa faute, du cognac et des cornichons au vinaigre…
Le vénérable n'a eu que faire beaucoup d'attente pour ses yeux de renard attentif, soient relevés par ses oreilles, lesquelles qui n'en ont pas eu presque du temps à ne rien faire, pour être elles, à leur tour, relevées par sa bouche : un spontané avait fait toute suite éclosion.
Peut-être,
je n'en doute, interrompe celui-là, il peut être compréhensible,
l'amour de Dieu, même qu'il en soit de la guerre, avec le cognac… mais ! cela des cornichons au vinaigre.
Probablement
que les dieux existent, répond avec impatience mal dissimulée le
patient maître de l'éloquence, mais qu'ils soient exposés tels que
n'importe quelle banale marchandise, sans se révolter, ça ne me
fait pas douter de leur inexistence.
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