Hélène
est, pas l'une sinon la plus, douce, aimable, gentil, cauteleuse,
tendre, soigneuse, délicate, fraîche belle, c'est-à-dire une
cheminée qui pollue, de la fumée qui d'elle fait sortir, du bonheur
de l'honneur, pour qui de cette fumée ait été touché ; de ce que
je me congratule d'en avoir été l'un y parmi, puis cela permet d'appartenir au cercle, dont Hélène répand sa grâce avec laquelle est
implicite la connaissance d'elle à nous… faveur incommensurable !
Grâce
celle-là qui nous permet d'accompagner la belle (et tout ce tas-là
d'adjectivations, et plus) dans une sorte de pèlerinage durant,
qu'elle fait jour le jour par tous les coins possibles, de la ville,
dont elle puisse trouver des chats, animaux que l'adorable adore,
pour les offrir des gourmandises… comme si sa présence n'en fut assez ! Pèlerinage dont quelqu’un peut avoir de la chance, le jour
qu'il en soit, de s'être fait porteur du sac les y contenant.
Je
sais, tout le monde, parmi les dévots de la gentille ; bien, tout
ce gâteau qui pourrait bien être jusqu'à dégoûtant pour qui
n'aime pas trop la douce, le sait, que personne n'aime tant comme on semble faire croire ces petits félins. En revanche, personne n'ose rien dire les uns
des autres, soit qu'il se produise la débandade, de celle-ci qu'il
faut en autre se soigner en se soûlant ; les profiteurs, munis de la
malice tire de la sobriété, feraient-ils pour rester chez elle,
dont ses oreilles réchauffées de l'haleine qui accompagnent les
chuchotements de tel harmonieux gâteau, qui est Hélène « la demoiselle des chats ».
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