La nature a marché depuis toujours, sagement, pas à pas, si bien que fermes, simplement posés par sa propre complexité, sans rien l'agacer ; jusqu'à nous, nous dérobant de celle-là : en « êtres » nous dévots de l'« être » divin ; nous divisant en tribus à chacun chacune, l'en avons foutu.
Dans la nature, par exemple, ce qui n'est pas quelque chose : les eaux, dont leurs excès qui tombent, sur un paysage n'importe quel, se font sources, lesquelles s'en rejoignant les unes les autres, façonnent des fleuves, plus gros à plus sources soient ; fleuves qui en iront verser leurs eaux dans l'immensité de la mer ; ce qui à elle n'est qu'une petite proportion de celles-là, que les siennes assimilent sans point être affectées. Alors que, s'il fût la mer qui montât les cours des fleuves, des sources, la mer ne pas uniquement détruirait les unes les autres, sinon qu'elle inonderait les terrains riverains, détruisant aussi le tout, pour s'y imposer.
La
grâce de la loi de la gravité a empêché que ça s'en était passé. Cependant, une autre gravité devient de nous, crétins dénaturalisés, autotenus nous par sages, chacun patron prétendu de la vérité, ce
qui nous empêche d'assimiler que nous ne sommes que parti du tout, pas
le tout.
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