mardi 8 octobre 2013

À LA RECHERCHE DE LA DOUCEUR

    Quel homme touché de l'amour à la beauté, sensible et la délicatesse, peut éviter de se sentir captivée du tendre regard d'une vache ? De la somptueuse placide cadence de le balancer de ses anches, des pis qu'elle fait frôler sur les herbes humides, pour les offrir généreusement, à qui volontiers veuille les sucer, y fusionnant pour redoubler plaisir, la fraîcheur des plantes avec la tiédeur d'elle-même ?
 
   
    Pourtant, comment est-ce qu'on se peut par contre, aimer la raideur soutenue sur des hauts talons, aiguisés, non moins agressifs, que celle-là qui se montre là-haut, sa face embaumée de peintures de guerre, dont elle a paré son corps avec des plus beaux dessins pour le faire objet de convoitise des nécessiteux, mais défendu d'armure impénétrable, airs de grandeur ! … gestes de mépris.
 
   
    Va fan cul ! Toutes. Crie un jour mon ami Desmettre, d'un air que non une aria, Napolitaine. Je ne veux pas être esclavagiste, mais non plus esclave. Donc il, qui ne peut pas assimiler le lactose, s'en est allé à la douce Asie dans la recherche de la douceur. Il tenait peut-être la pensée en une voiture, puisqu'il est revenu avec deux… une de secours. Ce que se l'en va faire, dans le monde parisien la mécanique, c'est comme ça.

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