Par
là-haut est sorti, d'où personne a su dire (pas à cause de
mystère d'aucun dieu sinon de notre ignorance) un vent, qui a fait inciter les nuages noirs à se balader, ombres qui voilent le ciel,
en empêchant l'espace extérieur de timidement illuminer la nuit de
la Terre, d'étincelants astres qui dès là font des clins d’œil
à tout lequel ici-bas veut être complice de leur joie.
Sur
terre, il ne reste d'autres ombres que les ombres que les nuages font ; l'empire de l'obscur est en toute sa grandeur. Parmi les gens,
il y en a qui brûlent des chandelles sur leurs yeux pour brûler leurs
yeux sur les pages de la liberté, pour faire conduire le monde à la
recherche du soleil, l'astre proche qui ne va pas vaciller, à fondre
les ombres pour pouvoir nous voir les nôtres.
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