L'un de ces jours-ci, faisant moi moquerie avec un ami, dans un bar évidemment, de la comédie que quelques personnages, tels que revenants du Moyen Âge, qu'au ne pas être capables de l'en faire, impliquent, ces pauvres d'esprit, leurs gamins, en faisant honteusement d'eux répugnants petits hooligans, quand, soudain ! Le visage de mon bon compagnon était devenu sombre, là où les rides, façonnées au long de son long âge, sillonnaient, sombrant la tristesse qui l'avait envahi. Moi, en prenant le verre j'ai fait un toast pour faire dissimuler cela qui l'en était venu à sa tête ; donc, après d'un coup dans le derrière, une fois son visage s'est relaxé, il commence à parler :
J'ai
été le dernier y parmi cinq frères et quatre sœurs, avec ceux-ci
aussi qu'avec mes parents, dont je n'avais d'autre rapprochement à
eux que de m'en éloigner pour esquiver leurs coups ; peut-être, en
le concernant aux de mes frères, pour s'indemniser, auxquels
mon père les gratifiait autant qu'à moi. Le grand patron de la
maison, qui, depuis qu'il y arrivait, commençait par agresser ma mère. Il était très poli pour l'en faire à la suite avec tout le
poulailler.
Mon père m'a fait faire un homme, selon lui, me mettant à travailler tenant moi huit ans par tout enseignement, il m'a dit : aux hommes aux longs cheveux et aux pédés, il faudrait les couper la tête, en tant qu'aux femmes, celles-là qui avaient des rapports sexuels sans être épousées, putes toutes (à cette époque-là, il ne se parlait de lesbiennes, ni non plus d’avorter, je ne sais pas si parce que cela était quelque chose des gens riches, ou bien puisque c'était inimaginable). Ce type, mon père, qui devant le curé de la paroisse, hochait la tête, les yeux de mouton égorgé, lesquels tranchaient avec les libidineux de daurade (si bien que fraîche) du curé, auquel mon père me donnait à faire du catéchisme, dont tous les gamins nous étions soumis au pelotage de ses dégoûtantes graisseuses mains ; à un autre ami qui était par là, je lui dis : tout un intellectuel !!!
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