Rondel
cultivait le plus beau jardin des plus superbes fleurs peuplées, que
personne ne puisse imaginer. Rondel se levait à l'aube, quand les
gouttes abandonnées des rosées fleuraient dans les fleurs, y
persistant, telles que diamants, qui s’évanouissaient devant la
beauté de leurs porteuses sans auparavant laisser quelques
gouttes de mouiller les mains soigneuses du jardinier, qui tandis que caressaient les fleurs rafraîchissait ses joues.
Quand la douceur de la matinée envahissait le tout, le tout s'envahissait d'oiseaux, ce qui ne faisait rien faire Rondel que sentir flore et faune, et voir les fleurs et sur elles les dessins façonnés par abeilles et papillons, tout cela qui au long de la journée s'accentuait jusqu'à arrivant la tombée du jour, dont l’empire du parfum des fleurs régnait sur tout, énonçant le summum de telle puisant Altesse des stridents chanter des grillons.
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