Il doit être à cause de se faire appeler verts, raison à laquelle ils aient des visages de vaches enrhumées, épithète qui n'a rien à voir avec la maladie, dont le mot se doit, sinon aux allures, des unicolores à qui « la cause » impose, d'office, en faisant la lippe, comme quelque chose de leur naturel, à force d'avoir perdu le naturel sens de l'humeur ; donc et comme ils ne paissent non plus, ruminent protestations partout sans avoir bien digéré ; étant de mode, ces derniers jours, ajouter à la dangerosité (certaine) polluante (certaine) de l’énergie nucléaire : le gazole, il pollue (personne l'en doute). Il tue… il tue beaucoup plus la faim.
Mesdames, messieurs, je suis désolé de vous contrarier ; ni le nucléaire, ni le gazole, ni toutes les pollutions ensemble du monde tuent, nous sommes les qui tuent, et le temps est arrivé, puis de presque tout avoir tué, de jouer notre dernier acte, dont nous nous tuerons nous-mêmes ; en scène n'aura que coupables riches, et coupables pauvres, ces derniers sans arriver à accomplir leur rêve : être riches, ce que l'on n'aura pas y parmi des innocents.
Mesdames, messieurs, verts tous, vous êtes salariés, bien autopayés, de la classe travailleuse, vous n’êtes point, différents aux autres politiciens, vous comme eux discréditent la politique, anéantissent la démocratie, et pour si cela n'en fût assez se déguisent de gauchistes… merde !, mais qu'est-ce que vous a fait la démembrer pauvre gauche à vous ? autant que pour si cela n'en fût peu encore, vous êtes les plus ennuyeux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire