L'amitié prend, comme l'amour, de l'amusement des partenaires respectives ; pourtant, si l'amitié pousse, et même en soutenant la gaieté, dans l'amour y est la lutte ; c'est pour ça que faire pousser tous les deux dans le même pot, ce ne peut entraîner rien de bon, de là que, Kiki et Koko, étant amis depuis toujours, ils ont conservé l’amitié « fraîche » parce qu'ils ne se sont jamais par le tortueux sentier de l'amour.
Kiki avait une notable intelligence humaine, aussi qu'un petit peu d'une autre féminine, sur celle-ci que l'on peut s'ajouter de nouveau, qu'elle était un peu plus que petite pelliculeuse ; héritage presque inéluctable, traîné du long, trop long, domaine masculin, de l'un, qui en appartenant à cette espèce, Kiki s'était épousée, plus que pour lutter, pour vaincre. Toutefois, Koko était possesseur d'une seule intelligence humaine, aussi seule comme seul il était, de cette solitude, en autre, dont il n'a jamais su dire, ni s'expliquer à lui-même peut-être, si est-ce qu'il n'a eu du temps, ou si est-ce qu'il s'est oublié de s'épouser.
Kiki et Koko se voient souvent, d'où que tous les deux sachent bien comme est l'un l'autre ; par exemple Koko sait que Kiki ne l'en va jamais donner la raison sur n'importe quel que soit sujet à traiter, Kiki préfère laisser la question dans le réfrigérateur, et tirer d'elle passé un temps l'en faisant sienne, en se croyant la perfide, que ses pellicules peuvent faire oublier ; donc, un jour pour la taquiner, Koko attend que Kiki se plaigne de son mari, et une fois elle s'était soulagée, Koko dit à Kiki quelque chose qu'il ne dirait jamais :
— Le pauvre, il est imbécile ! Tu as raison ! répondit-elle.
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