lundi 27 mai 2013

L'HÉROS, LES ROSES ET LE VIN

    Tout lequel qui n'a pas besoin d'arroser des roses, il s'arrose du jus du fruit le la vigne ; celle-ci qui en étant sœur du rosier, lequel étant à son tour père de la rose, ce qui fait la délicate fleur cousine de l'exubérant raisin, c'est-à-dire quelque chose tel qu'une Iliade végétale, dont au supposé Achille, laissons-le en animal, mammifère, soit homme, pour cela de l'autonomie mobile, les sens, tels que ceux-là du goût, olfactif et de la vue, aussi que, même qu'il soit pour le casser les pieds, du toucher et de l'ouïe.
 

    La question est que le nouvel Achille (mammifère lui comme l'ancien) héros celui-ci de notre temps, qui de tant recueillir des roses, délicates roses, de pour ne pas les pétrir, en les prenant par la tige se pique-t-il les doigts ; tout pour après les laisser se faner elles toutes seules à faute d'autres mains (délicates) à qui les offrir. Pour si ça n'était pas assez, les chants de sirènes inondent les oreilles du nouvel Achille héros de notre temps, lequel se fait inonder du jus du cousin des délicates fanées, pour ne pas laisser en lui un coin dans lequel l'écho des chants des sirènes résonne.

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