dimanche 26 mai 2013

DE LA PEUR À LA MORT AU DÉGOÛT À LA VIE

    Dans des conditions normales, les personnes que l'on considère en tant qu'animaux civilisés ; comme aussi n'importe quel autre animal de n'importe quelle espèce, ceux-ci qui si bien ne soient pas dans le concept des civilisés que nous prétendrons être. Ce qui ne veut dire qu'ils n'en donnent forme à sociétés (celles-ci qui si bien leurs évolutionnismes sont différents au nôtre, qu'est-ce que c'est ça ?) sans lesquelles, en autre, ils laisseraient d'exister (forniquer est plus qu'amusant) nous tous, êtres vivants, comme j'étais en train de dire, avons peur à la mort, ou au moins en étant vivants, ni personne ni animal autre, vendons bon marché notre propre peau.
 
   
    Depuis que la vie l'en est, elle de soi conditionne tous les nées à vivre… la mort n'est d'abord qu'une inconnue et tout vivant qui par nature se montre méfiante à tout inconnu, il ne fait exception de la mort, jusqu'à on fait connaissance avec, ce qui petit à petit devient une habitude laquelle renforce des liens d'une bizarre amitié. Je vous avoue que de ce que j'ai tristesse, plus que de la peur même qu'à la propre morte. C'est de ceux-là qui, sans avoir vécu presque, n'aient pas peur à mourir.
 
   
    Vivre la vie, qui n'est qu'une école durant, où toutefois que le vivant est arrivé au temps du licenciement, il commence faire de la connaissance de la mort, à partir d'où les licenciés, même sans la désirer, ils sont prêts, soit bien pour ennuyeusement, soit pour lassitude d’atteindre la fin de ce délirant voyage de la mort par la vie, quand non forçant exprès le désir de s'y arrêter.

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